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Mot clé : Lightroom

Interview : Volker Gilbert sur Alpha numérique

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Auteur, traducteur, journaliste pigiste, formateur, et animateur de ce web magazine, Volker Gilbert, véritable homme orchestre, est une référence dans le domaine de la technique photographique. Alors que la troisième édition de Développer ses fichiers RAW sort en librairie, il accorde une longue interview à Patrick Moll pour le site Alpha numérique.

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Lectures printanières

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• Non, Gimp n’est pas le Photoshop des pauvres – en effet, nombreux sont ceux qui préfèrent installer une copie piratée du célèbre logiciel d’Adobe plutôt que de partir à la découverte de cet attachant logiciel graphique open source, dont le développement a commencé il y a quatorze années. Toutefois, il existe de nombreux tutoriels sur Internet et une ribambelle d’ouvrages pour apprendre à s’en servir, et deux nouveaux livres, parus aux éditions Eyrolles, se joignent à eux :

L’ouvrage Gimp 2.6 – Débuter en retouche photo et graphisme libre de Dimitri Robert en est déjà à sa troisième révision. L’auteur y présente sur plus de 300 pages les principales fonctionnalités du logiciel ainsi qu’une dizaine de cas pratiques. Les annexes rassemblent les raccourcis clavier et principaux sites Web consacrés au logiciel et initient aux différents modes de fusion, formats de fichier, répertoires, fichiers et scripts “Scripts-Fu”. L’ouvrage est assez complet et s’adresse à des utilisateurs souhaitant bien maîtriser le logiciel. Sa présentation est plutôt austère : entièrement imprimées en noir et blanc, les illustrations ne rendent guère compte des corrections effectuées. Et par son contenu, le livre est davantage orienté “graphistes” que “photographes” – les fichiers RAW n’y sont pas abordés et la gestion des couleurs est traitée de manière un peu simpliste. Quant à son prix, 15€, il est particulièrement attractif compte tenu du nombre de pages et des nombreuses informations que l’on y trouve.

Situé aux antipodes de l’ouvrage précédent, Gimp-spécial débutants est imprimé en couleurs et partage les dimensions, la pagination et la mise en pages des autres ouvrages de la collection des Cahiers. Raymond Ostertag, traducteur officiel du logiciel et animateur du site Gimpfr.org, propose cinquante pas-à-pas visant les débutants en photo et tous ceux qui découvrent Gimp 2.6 pour la première fois. Les exemples d’images sont bien choisis et les captures d’écran suffisamment grandes pour y voir clair ; le livre incite à installer le logiciel à partir du CD-Rom fourni pour démarrer aussitôt les travaux pratiques. Bref, il contribuera sans doute à rendre Wilbur et Gimp plus populaire. A quand les cahiers Gimp pour les utilisateurs expérimentés ?

• Et pour la fin, un ouvrage unique qui pourrait bien intéresser les photographes désirant mieux connaître le monde du prépresse et de l’impression. La chaîne graphique – prépresse, impression, finition, écrit par le trio d’auteurs suédois Kaj Johansson, Peter Lundberg et Robert Ryberg et paru aux éditions Eyrolles, couvre avec brio les différentes étapes composant la fabrication d’un produit imprimé : acquisition, photogravure, mise en pages, prépresse, papier, impression, finition, reliure et aspects juridiques, tout y est bien expliqué et abondamment illustré. Très bien imprimé et relié, arborant plus de 450 pages et une couverture rigide, ce livre précieux est très utile à tous les photographes désirant décrypter le jargon des différents acteurs de la chaîne graphique : CMJN, PostScript, PDF, GCR, UCR, taux d’engraissement et points de trame, vous saurez enfin de quoi il s’agit !

Capture One : traitement local, correction des défauts optiques et conversion noir et blanc

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Si Silver Efex Pro est sans doute l’un des modules externes Nik les plus intéressants à joindre à Capture One (consultez notre article détaillé au sujet de plug-in remarquable), il en existe d’autres, notamment Viveza et la collection de filtres Color Efex Pro. Quant à Dfine, dédié à la réduction du bruit (globale et locale) et Sharpener Pro, outil nec plus ultra pour l’accentuation finale, ils n’ont pas encore été portés sur Lightroom, mais ce n’est qu’une histoire de (quelques) semaines.


Color Efex Pro en action : si de nombreux filtres donnent un rendu assez “kitsch”, le filtre Glamour Glow “joue ici juste” et apporte à cette image une dimension douce et romantique…

Plusieurs logiciels de développement RAW sont désormais à même de corriger les principaux défauts optiques (vignetage, distorsion, aberrations chromatiques et netteté hétérogène) et Capture One Pro ne fait pas exception. Toutefois, ces corrections ne sont automatiques que pour les objectifs Phase One et Mamiya, grâce à une détection automatique et aux profils de correction incorporés au logiciel. Si vous possédez un appareil reflex numérique, seule la correction des aberrations chromatiques sera automatisée (et terriblement efficace…), grâce à l’analyse et la création d’un profil personnalisé. Distorsion et vignetage doivent être corrigés au moyen de deux curseurs, ce qui n’est ni particulièrement pratique ni aussi précis qu’avec DxO Optics Pro ou PT Lens.

Fort heureusement, Thomas Niemann était un des premiers à proposer un module externe pour Lightroom. Installez la dernière version du logiciel (qui ne coûte que 15 $…). Notre article à propos de PT Lens vous donnera des précisions quant à la procédure d’installation et à son utilisation depuis Lightroom et Aperture.

J’ai tenté de corriger la distorsion de l’image suivante avec les outils de correction propres à Capture One : si les aberrations chromatiques ont presque disparu, le curseur Distorsion ne parvient pas à supprimer la distorsion en moustache de l’objectif utilisé, un Canon TS-E 24 mm f/3,5 L.

1. Après avoir sélectionné PT Lens en tant qu’éditeur externe, j’ai développé, puis ouvert une copie au format TIFF 16 bits par couche. PT Lens ne réussit pas à lire les données EXIF (ce qui est sans doute dû à un bogue de la dernière version de Capture One Pro…), mais j’ai pu choisir l’appareil et l’objectif utilisés pour corriger la distorsion. Dans l’onglet Perspective de PT Lens, j’ai pu redresser la perspective de l’image (curseurs Vertical et Tourner).


2. J’ai cliqué sur OK pour récupérer l’image corrigée dans Capture One. Voici une comparaison des résultats obtenus avec PT Lens (à gauche) et Capture One Pro (à droite) : bien qu’il demeure une petite quantité de distorsion, la correction avec PT Lens est plutôt probante.

DNG Profile Editor : étalonnez votre boîtier avec Camera Raw et Lightroom

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1. Effectuez une prise de vue de la mire ColorChecker sous un éclairage homogène et proche de la lumière du jour. L’appareil est réglé sur le format RAW, et la balance des blancs est déterminée manuellement à l’aide d’une charte de référence grise.

2. Téléchargez l’utilitaire DNG Profile Editor, en cliquant ici.

3. Ouvrez votre image de la mire ColorChecker dans Camera Raw (version 4.5 ou plus récente) ou dans Lightroom (versions 2.x). Les paramètres de l’onglet Réglages de base doivent tous être à zéro, ce qui implique de désactiver la correction automatique. Réglez le point noir sur 0.


Prise de vue d’une mire de couleurs ColorChecker

4. La balance des blancs est effectuée à l’aide de la pipette sur le gris le plus clair (deuxième plage en partant de la gauche).

5. Développez l’image au format DNG et ouvrez-la dans l’utilitaire DNG Profile Editor (File>Open DNG Image, raccourci Ctrl/Cmd + O).

6. Cliquez sur l’onglet Chart, puis positionnez les quatre cercles colorés sur la mire photographiée afin d’indiquer au logiciel sa position dans l’image. Passez ensuite à la section 3 pour choisir le champ d’application du profil. En optant pour Both color tables, vous l’utilisez à la fois pour les images prises à la lumière du jour et à la lumière tungstène. En choisissant l’une des options “2850 K only” ou “6500 K only”, vous ne le dédiez qu‘à un seul type d‘éclairage. Il est alors nécessaire de prendre deux images de la mire et de respecter pour chacune l‘éclairage correspondant. J’ai ici choisi de créer un profil “universel”, applicable à tous les types de lumière, à partir d’une photo prise à la lumière du jour à 5 130 K (mesuré avec un thermocolorimètre).

7. Cliquez sur Create Color Table. L’utilitaire analyse les couleurs des vingt-quatre plages de la mire photographiée et les affiche dans l’onglet Color Tables, côte à côte avec les couleurs normalisées. Pour chacune des plages, vous pouvez afficher l‘écart des valeurs dans un modèle TSL.

Lightroom : l’accentuation du contraste

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5. Une autre manière d’appliquer une courbe des tonalités à une image consiste à utiliser les paramètres prédéfinis. Ouvrez le panneau Paramètres prédéfinis et observez, dans le panneau Navigation, les effets obtenus en survolant les paramètres avec la souris.

6. Vous pouvez enregistrer vos paramètres pour les réutiliser plus tard. Cliquez sur l’icône +, à droite du panneau Paramètres prédéfinis. Dans la fenêtre qui apparaît, nommez le paramètre Fort Contraste. Cochez les paramètres à enregistrer et cliquez sur Créer.

7. Votre paramètre figure dans la liste des paramètres prédéfinis de l’utilisateur. Vous pouvez en créer autant qu’il vous plaira et les utiliser en fonction de vos besoins. Bien entendu, ces paramètres personnels ne sont pas limités aux seules courbes.

Voici la photo une fois les retouches effectuées.

Cet atelier est extrait du Cahier 1 Lightroom – Spécial débutants, coécrit par Cyril Bruneau et Bernard Richebé, paru aux éditions Eyrolles.

Lauréat du prix de Rome en photographie, Bernard Richebé est photographe publicitaire. Il collabore avec des agences prestigieuses, comme Euro RSCG, Publicis, CLM, ou McCann Erickson.

Cyril Bruneau est photographe et retoucheur dans le domaine de la publicité et de la photographie corporate ; il travaille pour les plus grandes entreprises (L’Oréal, Yves Rocher, Cartier, Vinci, Total…), ainsi que pour la presse (Paris Match, Le Monde…). On fait appel à lui pour réaliser des photos nécessitant une grande maîtrise de l’outil numérique. Pour consulter son blog pour les photographes, cliquez ici.

Lightroom : modifier une seule teinte dans une image

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4. Cliquez sur le bleu du ciel et, sans relâcher le bouton de la souris, déplacez le pointeur vers le haut : la saturation du ciel augmente tandis que les curseurs associés au bleu se déplacent. N’exagérez pas l’effet pour éviter l’apparition de bruit ou grain dans l’image.

5. Ouvrez ensuite l’onglet Luminance et cliquez de nouveau sur le bleu du ciel. Sans relâcher le bouton de la souris, déplacez le pointeur vers le bas pour assombrir le ciel.

6. Lorsque le résultat vous satisfait, reposez le bouton de réglage à son emplacement en cliquant sur son icône, en haut à gauche de l’onglet Saturation ou Luminance.


Voici l’image conforme à ce que vous souhaitiez.

Cet atelier est extrait du Cahier 1 Lightroom – Spécial débutants, coécrit par Cyril Bruneau et Bernard Richebé, paru aux éditions Eyrolles.

Cyril Bruneau est photographe et retoucheur dans le domaine de la publicité et de la photographie corporate ; il travaille pour les plus grandes entreprises (L’Oréal, Yves Rocher, Cartier, Vinci, Total…), ainsi que pour la presse (Paris Match, Le Monde…). On fait appel à lui pour réaliser des photos nécessitant une grande maîtrise de l’outil numérique. Pour consulter son blog pour les photographes, cliquez ici.

Lauréat du prix de Rome en photographie, Bernard Richebé est photographe publicitaire. Il collabore avec des agences prestigieuses, comme Euro RSCG, Publicis, CLM, ou McCann Erickson.

DxO Optics Pro 5.3 – Deuxième partie

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Le traitement des corrections optiques est au cœur même du logiciel. Sa qualité a contribué à la réputation mondiale de son éditeur. Les algorithmes de DxO Optics corrigent :
• le vignetage, qui se manifeste par la perte de luminosité dans les coins de l’image – ce phénomène à la fois d’origine méchanique (causée par le barillet de l’objectif) et optique est lié au type de capteur ;
• l’aberration chromatique latérale, qui est plus prononcée avec des objectifs de type ultra grand-angle et grand-angle ;
• la distorsion, elle aussi accentuée par l’utilisation de focales grands-angles ;
• les franges pourpres (purple fringing), variation de l’aberration chromatique engendrée par les micro-lentilles de certains capteurs numériques.

Dans la version 5 du logiciel, les outils dédiés à la correction des défauts optiques ont été répartis sur les trois palettes Lumière (vignetage) Géométrie (distorsion et déformations de la perspective) et Détails (aberrations chromatiques), selon les paramètres d’image qui en sont affectés.

Le réglage par défaut proposé par l’outil Distorsion (100), basé sur des mesures très précises, convient la plupart du temps, mais vous pouvez le modifier pour préserver soit une partie de la distorsion si caractéristique d’un objectif grand-angle, soit des détails importants sur les bords d’une image. L’option Conserver les proportions permet de minimiser le recadrage d’une image dans certains cas extrêmes.

Nous vivons dans un monde à trois dimensions, on imagine donc les difficultés qu’il y a à reproduire une scène sur un écran ou un tirage papier. Certaines déformations sont inévitables. L’anamorphose de volume, notamment, affecte les sujets proches de l’objectif ou à la périphérie de l’image sur des photos prises au grand-angle. L’outil Correction de l’anamorphose de volume dans la palette Géométrie est probablement l’une des fonctionnalités les plus impressionnantes de DxO Optics Pro. Elle est très efficace pour corriger ces déformations et propose deux types de correction : les options Sphérique et Cylindrique, la première étant bien adaptée pour les visages par exemple, et la seconde pour les silhouettes humaines ou les bâtiments. Notez qu’on ne peut appliquer la correction de l’anamorphose de volume que lorsque l’objectif est pris en charge par le logiciel.
DxO Optics Pro est également capable de rectifier la perspective des images prises en légère plongée ou contre-plongée ou dont la ligne d’horizon est inclinée. Les outils correspondants se trouvent également dans la palette Géométrie.


Image avant traitement. Les distorsions optiques (courbures de lignes droites) et l’anamorphose de volume (les roues de l’avion sont étirées vers les bords de l’image) sont très marquées.


Image après traitement avec les outils Correction de l’anamorphose de volume et Perspective/Horizon. Les lignes sont droites, l’anamorphose de volume a été corrigée et la perspective rectifiée.

Les commandes de l’outil Netteté permettent d’accentuer la netteté tout en atténuant un manque d’homogénéité entre le centre et les bords de l’image. Pour la correction de perte de piqué, liée au processus de l’interpolation couleur ainsi qu’au filtre passe-bas du capteur, DxO fait la distinction entre le manque de netteté proprement dit (basé sur une mesure du blur via le fameux BxU – Blur eXperience Unit – de DxO Analyser) et l’application d’une accentuation sur les contours de l’image en vue d’une utilisation spécifique (grâce à l’outil USM). Si vous envisagez une étape de postproduction avec Photoshop, nous vous conseillons de désactiver l’option USM pour travailler plus tard l’accentuation. Il est parfois préférable de modérer l’optimisation du piqué, lorsqu’elle procure des résultats exagérés.

Le bruit numérique est corrigé à l’aide de la fonction DxO Noise. Bien que particulièrement efficace pour supprimer le bruit de luminance et le bruit coloré, son réglage par défaut est trop puissant et lisse les photos à outrance, au point de générer une structure d’image peu naturelle. Il est heureusement possible de créer son propre préréglage en diminuant le réglage pour la suppression du bruit de luminance. Grâce au traitement du bruit en deux étapes, grande nouveauté de la version 5, une grande partie du travail est déjà effectuée bien en amont, lors du dématriçage du fichier RAW. Pour cette raison, il n’est plus nécessaire d’utiliser des réglages importants dans l’outil Suppression du bruit, et le logiciel reste malgré tout très efficace pour traiter les images prises à une sensibilité ISO très élevée et/ou sous-exposées de quelques diaphragmes. Quant aux aberrations chromatiques, il n’est que rarement nécessaire de modifier les réglages par défaut pour les curseurs Intensité et Taille…

L’outil Poussière ressemble à s’y méprendre à l’outil Autocorrecteur de Nikon Capture NX2. Il ne possède en effet, tout comme son alter ego chez Nikon, qu’un seul paramètre d’ajustement pour contrôler la taille du Pinceau ; l’outil analyse en fait de manière intelligente la couleur et la texture des pixels adjacents afin que les interventions du pinceau restent invisibles sur l’image finale. Lorsque vous sélectionnez l’icône en forme de gomme, le logiciel affiche deux fenêtres Avant/après ; vous peignez sur les poussières affichées dans la fenêtre de gauche pour apprécier le résultat à droite. Attention : comme pour nombre de corrections optiques, de netteté et de bruit, vous devez choisir un agrandissement d’au moins 75 %[est-ce qu’on ne supprimerait pas ce rapport d’affichage intermédiaire qui ne fera que solliciter une interpolation à l’écran, plutôt gênante en l’occurrence ?pour lui préférer les multiples de 100 % oui, mais la limite à partir de laquelle les réglages s’affichent…] (ou mieux, 100 %) pour afficher vos retouches.

Optimiser les performances de DxO

Pour bénéficier des prouesses d’un appareil reflex dernier cri et d’un logiciel de pointe, vous devez disposer d’un ordinateur à la hauteur. Malgré les progrès incontestables de la cinquième version de DxO en ce qui concerne la vitesse de conversion, je vous recommande chaudement l’emploi d’une machine à processeur double, voire quatre cœurs (un Mac ou PC à base de processeur Intel Xeon, Core Duo, Core 2 Duo ou Athlon 64 × 2), ainsi que 2 Go de mémoire ou davantage. DxO fait appel à eux simultanément, augmentant considérablement ainsi sa vitesse d’exécution.
Dans l’onglet Traiter des Préférences (Édition>Préférences), vous pouvez allouer plus ou moins de puissance au logiciel lors d’un traitement par lot. Si vous possédez un ordinateur un peu ancien ou si vous souhaitez utiliser une autre application en parallèle, sélectionnez l’option Minimum. Si vous disposez d’un ordinateur puissant, préférez au contraire l’option Maximum : toutes les ressources disponibles seront alors attribuées au logiciel. Sinon, selon la puissance de votre ordinateur, DxO Optics Pro détermine automatiquement le réglage adapté.

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