Questions Photo

EFI eXpress for Photo : un outil de production pour l’impression jet d’encre

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Utilisation

L’ EFI eXpress for Photo n’est pas à strictement parler un RIP, mais plutôt un gestionnaire d’impression ultraperformant. Le moteur d’impression demeure en mode RVB pour permettre de meilleurs résultats, notamment là où le CMJN éprouve certaines difficultés à restituer fidèlement la teinte et la saturation des couleurs : dans les verts, cyans et bleus. Pour la gestion des couleurs, le logiciel propose plusieurs préréglages (Photo, Pas de gestion des couleurs, Convertir en niveaux de gris, etc.), mais n’affiche plus les réglages du pilote de l’imprimante. Cette dernière est en fait directement pilotée par le logiciel et il est ainsi virtuellement impossible de se tromper sur les réglages à appliquer et d’obtenir de mauvais résultats. Car si la gestion des couleurs et l’interférence des réglages de Photoshop et du pilote d’imprimante provoquent souvent des résultats surprenants, ceux obtenus à partir du logiciel EFI eXpress for Photo sont toujours constants et excellents. L’utilisateur gagne donc en productivité et peut se concentrer sur le traitement des images à imprimer.


Choix des paramètres d’impression

L’interface utilisateur du logiciel est séparée en trois panneaux distincts : l’aperçu et la liste des travaux dominent la partie gauche et le milieu de l’écran, le panneau Propriétés le tiers droit. Chacun des panneaux peut être affiché ou masqué, les deux panneaux Aperçu et Liste des travaux peuvent être ajustés en hauteur. Une barre d’outils, située au-dessus de la fenêtre d’aperçu, offre un accès aux fonctionnalités les plus courantes pour imprimer, pour gérer les collections d’impressions et pour ouvrir les Préférences et l’assistant d’utilisation du logiciel. Pour imprimer, il suffit de faire glisser une ou plusieurs images sur le panneau Liste des travaux. Mais vous pouvez également passer par l’icône de la barre d’outils ou par la commande Fichier>Importer un travail (Ctrl./Cmd+O) du menu.

Les photographes pressées peuvent imprimer automatiquement une fois les images transférées sur le disque dur. Pour cela, il suffit de définir un “hotfolder” à partir de l’onglet Détection du travail des Préférences. Notez qu’en suivant cette procédure, vous n’aurez plus besoin d’être présent pour préparer vos travaux d’impression, le logiciel s’y consacre automatiquement en appliquant les paramètres choisis et sera uniquement limité en ce qui concerne le chargement du papier et des encres. Il est ainsi possible de lancer une série d’impressions tout en pratiquant d’autres activités.


Choix d’un hot folder

Pour la mise en page, EFI eXpress for Photo propose plusieurs gabarits prédéfinis et vous pouvez aisément créer et enregistrer vos propres gabarits d’impression (collections). Cependant, le paramétrage des gabarits est moins souple que dans Lightroom 2 (et à fortiori dans Lightroom 3) : s’il est possible d’incorporer des traits de coupe, le logiciel de chez EFI ne permet d’ajouter que certaines informations EXIF et la date et l’heure de l’impression au pied de page.


De nombreuses options existent pour le positionnement précis des photos à imprimer

Le fonctionnement des collections s’apparente un peu à celui des collections du module impression de Lightroom : une collection d’images – c’est-à-dire une sélection d’images pour un travail d’impression – est ainsi automatiquement associée à une collection d’impressions comprenant l’ensemble des paramètres d’impression. Il convient ainsi de faire glisser des images dans une sélection pour leur appliquer des paramètres communs. Pour la correction des images à imprimer (rappelons qu’il prend directement en charge la plupart des formats RAW, y compris le format DNG), EFI eXpress propose des curseurs pour modifier les paramètres Netteté, Luminosité, Contraste et Saturation, pour les impressions noir et blanc, il est également possible de refroidir ou de réchauffer l’équilibre des gris.


Si le logiciel propose de nombreux paramètres prédéfinis (collections) pour la mise en page, vous pouvez en créer d’autres
Comme dans la plupart des gestionnaires d’impression, l’aperçu ne montre qu’une interprétation peu fiable des couleurs et de la netteté. Notez que le logiciel fournit également une panoplie de réglages pour ajuster la taille, la largeur, la hauteur et le positionnement de l’image. Pour changer les paramètres d’impression, il suffit de recharger l’assistant d’installation et de suivre les étapes proposées, l’utilisation du logiciel étant toujours suffisamment limpide pour ne pas effaroucher les néophytes.


Commandes pour un ajustement direct des couleurs et de la tonalité : à utiliser avec parcimonie

Lexar Professionnal 600x : une nouvelle gamme de cartes mémoire à haute vitesse

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Vitesses (théoriques)

Si la plupart des fabricants précisent les vitesses de transfert maximales de leurs cartes mémoire, il existe deux manières différentes pour afficher ces dernières : certains ont adopté un système basé sur un multiple de la vitesse maximale d’un lecteur de CD « standard » et d’autres annoncent directement la vitesse de transfert en mégaoctets (ou megabytes dans le monde anglophone)… par seconde. Dans le premier cas, il faut calculer la vitesse théorique. Multipliez le chiffre indiqué par 150 ko par seconde : une carte Lexar Professional 600x propose donc une vitesse théorique en écriture époustouflante de 600 × 0,15 = 90 Mo/s, suffisante pour enregistrer en une seule seconde quatre fichiers RAW (23 Mo) d’un Canon EOS 5 D Mark 2 !

Capacités d’enregistrement

Pour ses cartes haut de gamme, Lexar propose des capacités de stockage importantes. Avec une carte de 8 Go, vous pouvez ainsi enregistrer plus de 600 fichiers au format RAW provenant d’un Nikon D300s (ou plus de 2200 fichiers au format JPEG haute résolution) et avec un Canon 7D environ 450 (RAW) ou 1400 (JPEG) fichiers. Multipliez ce nombre par 2 ou par 4 pour connaître la capacité de stockage des cartes 16 et 32 Go. Bref, il y a de quoi s’inquiéter de la fiabilité de ces supports d’enregistrement, surtout en voyage lorsqu’il n’est pas possible de décharger le contenu des cartes sur le disque d’un “porte-pixel” ou d’un ordinateur portable. Toutefois, Lexar a de quoi rassurer les photographes : hormis une garantie à vie, Lexar offre une licence gratuite du logiciel de récupération Image Rescue™ 4, dont vous pouvez télécharger une version d’évaluation sur le site du fabricant.
Ce dernier possède par ailleurs son propre laboratoire d’essais, Lexar Reliability Lab, ou les produits sont systématiquement examinés afin d’assurer leur fiabilité et leur compatibilité avec la plupart des appareils du marché. Sur un site dédié, Lexar propose de nombreux articles et tutoriels ainsi qu’une présentation des travaux de photographes affiliés.

Lecteur FireWire 800

N’ayant pas à ma disposition ni ordinateur portable ni station de travail équipé d’un emplacement pour adaptateur ExpressCard/34, je n’ai pas pu tester le nouveau lecteur CompactFlash, seul à même d’exploiter les vitesses élevées des nouvelles cartes mémoire. Je me suis contenté du lecteur FireWire 800 UDMA Professionnal, qui est aussi compatible avec des cartes standard est dont le débit théorique plafonne à 800 Mo/s, deux fois supérieur à celui d’un lecteur au standard FireWire 400.

Réalisé dans une matière plastique très dense et remarquablement bien fini, il possède la fière allure d’un produit destiné aux photographes professionnels : aspect de surface légèrement granuleux, revêtement en simili-cuir sur le capot, lèvre anti-intrusion pour protéger l’intèrieur du lecteur des poussières, bouton d’extraction bien ferme – ce lecteur de carte est presque parfait et tout juste pourrait-on lui reprocher que le cable FireWire 800 d’un mètre ne soit pas mieux sécurisé (il se détache assez facilement du lecteur). Notez que ce lecteur bénéficie d’une fonctionnalité fort pratique avec certain logiciels dédiés au rapatriement des images (par exemple ImageIngester Pro ou Photo Mecanic: vous pouvez empiler jusqu’à quatre de ces lecteurs, grâce à un deuxième connecteur FireWire sur chaque lecteur (un câble est fourni à cette fin) et télécharger leur contenu de manière automatique.

Carte Lexar Professional 600x – 16 Go

Lexar livre la carte de 16 Go dans un étui en matière plastique translucide, proche des étuis fournis par SanDisk, mais un peu moins pratique. Dans le feu de l’action, l’extraction de la carte de n’est pas toujours facile, surtout avec des ongles coupés assez court. À noter que le fabricant ne livre aucun étui supplémentaire, à la différence du concurrent cité qui livre ses cartes haut de gamme (au moins les Extreme III et IV) dans un étui de protection noir et du plus bel effet, capable d’abriter deux cartes dans leurs étuis d’origine. Sont fournis en revanche un certificat de garantie (la durée de la garantie varie suivant le pays d’achat, 10 ans en Allemagne, 5 ans au Japon et à vie partout ailleurs), un numéro de licence valable pour le logiciel Image Rescue 4 et des offres de la part d’Adobe réservées à l’acheteur.

Si SanDisk (encore lui…) communique sur la compatibilité de ses cartes (notez que la liste des appareils et cartes y est très loin d’être exhaustive et à jour), Lexar n’a pas encore publié des informations quant aux appareils compatibles. Bien que j’ai pu mener quelques tests avec deux appareils anciens (un 40 D et un Canon 1 D Mark 2, antérieurs aux spécifications UDMA…), je ne vous conseille que l’utilisation de ces cartes avec les appareils préconisés par le fabricant (c’est-à-dire uniquement les modèles UDMA 6 cités plus haut) ou les appareils UDMA 4 et 5 (voir plus haut) un peu plus anciens. Avec ces derniers, le gain de vitesse sera de toute façon dérisoire par rapport à la gamme 300x, mieux adaptée.

Au vu des performances de plus en plus importantes de nos appareils reflex numériques, je me demande parfois si la photographie a rejoint les disciplines olympiques : “altius, citius, fortius”, l’adage du pasteur Henri Didon s’applique aussi à la pratique photographique qui réclame sans cesse des cadences de rafale plus rapides et des sensibilités ISO plus élevées. Les cartes mémoire, et à fortiori les plus rapides, participent t à cette course effrénée. Cependant, avec un appareil récent, les bénéfices d’une telle carte sont bien réelles : avec un Canon EOS 5 D Mark 2 en mode rafale et une carte SanDisk Extreme III 16 Go (20 Mo/s), il a fallu 14 secondes pour enregistrer 13 vues, et avec la carte Lexar Professional 600× 16 Go seulement 6 secondes. Mais même avec un appareil un peu plus ancien, la carte haute vitesse procure un léger avantage : après une rafale de 23 images avec un EOS 40D, il a fallu attendre 10 secondes jusqu’à l’extinction du témoin d’activité et 14 secondes avec la carte Extreme III. Avec le Canon 1D Mark 2, vieux de cinq années, les différences s’estompent complètement – la mémoire interne de l’ancêtre n’est simplement pas assez rapide pour acheminer les images vers la carte. Si l’utilisation d’une telle carte performante s’impose à tous ceux équipés d’un appareil à la norme UDMA, elle ne se justifie guère pour les autres, hormis quelques exceptions, notamment le Canon EOS 40D qui semble être doté d’un “buffer” sur-vitaminé.

Mais n’oublions pas le transfert sur ordinateur, car c’est ici ou le gain en temps sera plus important. Ainsi, le transfert d’un dossier d’images (1, 21 Go et 439 éléments) n’a nécessité que 25 secondes avec la carte Lexar et son lecteur dédié sur un Mac Pro 2×2,8 GHz et Mac OS X 10.5.8, avec une carte Extreme III 8 Go (20 mo/s) et le même lecteur, ce transfert a duré 90 secondes. La vitesse avoisine 50 Mo/s avec la carte Lexar et 14 Mo/s avec la carte « standard ». Notez que le lecteur contribue de manière importante au gain du temps, car avec un lecteur « multi-cartes » en USB 2 (notez que l’USB2 est plus lent sur Mac que sous Windows), le transfert a demandé pas moins de 58 secondes (ce qui correspond à environ 22 Mo/s) – une bien piètre performance produit par le lecteur, qui fait ici figure de goulot d’étranglement. Bref, si vous achetez une de ces cartes, envisagez aussi l’achat d’un lecteur approprié (idéalement l’un des lecteurs de la marque) et sachez qu’il vous faudra un équipement informatique performant pour en bénéficier.

Capture One 5 : sortie d’une première mise à jour

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Un mois à peine après la sortie de la cinquième version de Capture One, Phase One propose une première mise à jour qui ajoute de nouvelles fonctionnalités aux trois moutures du logiciel (Standard, Pro et DB) et qui l’améliore sur plusieurs points. Du côté des nouveaux formats RAW pris en charge, citons les appareils Panasonic G1, GH1, GF1 ainsi que Olympus E-P2. Pour certains appareils (Leaf Aptus II5, 6, 7 et 10, Canon 7D et Olympus E-P1), l’éditeur annonce une meilleure qualité d’image.

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Photo Acute Studio : le multi-échantillonnage à la prise de vue – première partie

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Photo Acute Studio

Photo Acute Studio est un véritable couteau suisse (hélas très sous-estimé) qui rend d’excellents services pour créer une image améliorée (augmentation de la plage dynamique, taille et/ou profondeur de champ et élimination d’objets gênants) à partir d’une série d’images prises à intervalles très rapprochées. La réduction du bruit figure parmi les fonctionnalités du logiciel et l’éditeur conseille même l’utilisation d’une sensibilité supérieure ou égale à 400 ISO pour les images prises à main levée, citant une meilleure protection contre le flou de bougé et une réduction efficace du bruit dans l’image résultante.


L’interface utilisateur de Photo Acute Studio : efficace mais d’une esthétique discutable

Le logiciel existe en deux versions, Studio et Mobile, traitant respectivement les images provenant d’appareils photo numériques et téléphones portables. La version Studio existe en deux déclinaisons, Standard et Professional, proposées à 35 et 85 euros pour les systèmes d’exploitation Windows (2000, XP, 2003, Vista/7) et Mac OS X (10.4.8 ou plus récent). A noter que l’éditeur annonce une compatibilité avec Wine, permettant une utilisation du logiciel sous Linux. La version professionnelle est la seule à prendre en charge les fichiers issus d’appareils reflex numériques. Pour traiter les fichiers RAW, Photo Acute Studio s’appuie sur l’utilitaire DNG, gratuitement disponible sur le site d’Adobe et qu’il faut avoir installé pour utiliser ces fichiers dans le logiciel, qui les convertit par défaut au format DNG linéaire.


Le logiciel est très gourmand en ressources et l’emplacement du fichier cache détermine sa rapidité d’exécution et sa stabilité ; placez ce fichier donc sur le disque le plus rapide


Photo Acute Studio tire parti de profils appareil-objectif pour améliorer la qualité de l’image résultante. il est même possible de créer ses propres profils et les envoyer à l‘éditeur pour qu’il les intègre au logiciel

L’interface utilisateur du logiciel est on ne peut plus spartiate : elle est scindée en deux fenêtres, une grande pour l’aperçu des images et une petite pour la gestion des fichiers, les préférences (Settings) et les outils (Start).

Voici comment utiliser le logiciel :

  • Ouvrez une série d’images en cliquant sur le bouton Ouvrir (raccourci O) ou faites glisser les images à partir de Bridge, Lightroom ou à partir de votre logiciel de catalogage (Expression Media,…) sur la fenêtre du logiciel.
  • Une fois les images chargées et affichées dans la fenêtre principale, sélectionnez dans les préférences (Settings) l’appareil photo et l’objectif utilisé. Photo Acute Astudio s’appuie, à l’instar de DxO Optics Pro, Canon DPP et PTLens, sur des profils préenregistrés pour corriger les défauts optiques, notamment les distorsions et le vignetage. Quant aux aberrations chromatiques, elles sont également corrigées, mais indépendamment du profil choisi. Si jamais votre matériel ne correspond pas aux profils proposés, vous pouvez utiliser celui d’une configuration proche ou contacter l’éditeur pour lui soumettre des photos d’une mire afin de créer le profil adapté.
  • Passez ensuite au choix du traitement : cochez les photos à inclure, cliquez sur le bouton Start et sélectionnez, à partir du menu déroulant situé dans la partie supérieure gauche de la boite de dialogue, le préréglage approprié.
  • Super resolution processing permet d’augmenter la résolution à partir de plusieurs images prises à exposition identique. L’éditeur conseille l’utilisation à main levée, mais vous pouvez également utiliser un trépied en décalant au besoin (c’est-à-dire si votre trépied est top costaud…) très légèrement le cadrage entre les différentes photos d’une série.
  • High Dynamic Range crée un fichier HDRI à patir d’une série d’images à exposition différente, prises sur pied (tripod mounted) ou à main levée (handheld).
  • Depth of Field Expansion génère une nouvelle image à partir d’une série d’images à mise au point décalée.
  • Removing moving objects enlève, à la manière de Photoshop Elements, des objets mobiles parasites (voitures, personnes), c’est qui est très pratique lorsque vous souhaitez photographier un site touristique sans touristes.
  • Les options Correct image geometry et Fix color fringing permettent de corriger les distorsions optiques et aberrations chromatiques (voir plus haut), Expand dynamic range et Equalize brightness augmentent l’étendue dynamique et la luminosité.
  • Dans tous les cas, Photo Acute Studio réduit le bruit, et l‘éditeur déclare que vous puissiez utiliser, sans aucune arrière-pensée, les sensibilités ISO élévées, et ce bien au-delà de 400 ISO.

Conférence : Quel avenir pour nos images numériques ?

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A l‘ère du numérique, faire des milliers de photos ne coûte presque plus rien, mais soulève de nombreuses questions en termes de tri et de sauvegarde de ses images. A l’occasion de la sortie de l’ouvrage Gérer ses photos numériques: trier, archiver, partager, Daniel Hennemand réunit un certain nombre d’acteurs du monde de l’image à la Maison Européenne de la Photographie le 25 novembre prochain.

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Bibble : une nouvelle version bêta publique

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Après une longue période de silence radio, pendant laquelle l’équipe de l’éditeur a œuvré à rendre le logiciel plus stable et compatible avec de nombreux nouveaux formats RAW, Bibblelabs annonce la disponibilité d’une troisième version bêta publique du logiciel qui intègre également de nouvelles fonctionnalités. Voici les points les plus marquants de cette version, Bibble 5 Preview 3, je présenterai celle-ci plus en détail, une fois les nouvelles fonctions digérées.

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Ricoh GXR : un drôle d’appareil pour photographes experts

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Le fabricant japonais Ricoh vient de présenter un nouvel appareil hybride d’une conception plutôt insolite : le Ricoh GXR est composé d’une base sans objectif et sans capteur, puis de deux unités interchangeables composées pour chacun d’un ensemble objectif et capteur. L’appareil permet ainsi non seulement de changer l’objectif, mais également le capteur !

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Le magazine Eyrolles
des techniques photo

Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !