Questions Photo

White Christmas : gestion des couleurs et point blanc

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Qu’est-ce qu’un objet blanc et pourquoi la balance des blancs ?

Un objet de couleur neutre, achromatique, est un objet dont la surface renvoie vers notre oeil ou vers l’objectif de notre APN un rayonnement dont le spectre est identique à celui de l’illuminant qui l‘éclaire.

L’opération nommée “balance des blancs” a pour objet d’identifier la couleur de cet illuminant (sa situation sur le diagramme de chromaticité) et de rendre neutres les pixels appartenant aux objets qui renvoient le même rayonnement. Les logiciels de développement RAW accomplissent cette difficile mission mais uniquement dans l’hypothèse où l’illuminant de la scène est unique. Si la scène est éclairée par de multiples illuminants se combinant ou se juxtaposant selon la zone considérée dans le volume scénique, l’affaire est alors beaucoup plus complexe, et, pour tout dire, non encore vraiment élucidée.

Si l’image est définie dans un espace RVB dit “équilibré”, ce qui est le cas des espaces de travail classiques, les pixels rendus neutres par la balance des blancs se voient dotés de composantes égales R=V=B.


Balance des blancs opérée avec une mire grise et la pipette de Camera Raw pour développer la photographie RAW d’une oeuvre de Claude Viallat dans l’espace équilibré Adobe RGB (1998).

Qu’est ce que le “point blanc” d’un écran ?

Le blanc d’un écran, dit aussi son “point blanc”, est la couleur qu’il affiche quand on lui injecte des pixels dont la couleur est définie par les composantes R=B=V=255 sur l‘échelle tonale variant de 0 à 255. En effet, si l’image est définie dans un espace de travail équilibré, comme sRGB, Adobe RGB (1998) ou ProPhoto RGB, et si elle a fait au préalable l’objet d’une balance des blancs convenable, les couleurs pour lesquelles les composantes RVB sont égales sont des couleurs neutres ; la couleur dont les trois composantes sont nulles étant le noir (absence de tout rayonnement), le blanc étant celle dont les trois composantes possèdent la valeur maximale 255.

Le rayonnement émis par un écran non étalonné quand on lui envoie un pixel R=V=B=255 n’a bien entendu aucune raison d‘être réellement blanc. Sa couleur a même de nombreuses excuses pour être “n’importe laquelle” puisqu’elle dépend du réglage de l’appareil, de son état de décrépitude, de son modèle, etc. L‘étalonnage va remédier à cette imprévisibilité en contraignant l’appareil à afficher une couleur déterminée quand on lui envoie de tels pixels blancs. Encore faut-il pour cela préciser au logiciel d‘étalonnage la couleur que l’on souhaite pour le blanc affiché.

Mais alors, quel blanc adopter ? Pourquoi ne pas prendre tout simplement Super Blanc, le blanc absolu E (5 400 K), le seul à être plus blanc que tous les blancs ? Nous allons voir que la réponse est à la fois plus complexe, à cause des questions liées à la confrontation écran/papier, et plus facile, car nous serons tirés in extremis de notre blanche angoisse par la flexibilité de la perception visuelle.

Perception visuelle du blanc et adaptation chromatique

Figurez-vous que, quand vous observez une scène éclairée par un illuminant blanc légèrement bleuté, par exemple l‘éclairage solaire D65, votre perception visuelle vous fait tenir pour blancs les objets qui renvoient vers votre œil des rayonnements de distribution spectrale identique à D65, c’est-à-dire des rayonnements légèrement bleutés. Si vous remplacez l’illuminant D65 par son frère jaunâtre D50, ce sont les rayonnements jaunâtres réfléchis par les objets neutres que vous allez dés lors trouver blancs, alors que leur couleur est devenue assez différente de celle que ces mêmes objets neutres avaient sous l’illuminant précédent.

Ainsi, votre système perceptif fait-il un travail de balance des blancs qui corrige continûment votre perception de la blancheur en fonction de votre environnement. Ce mécanisme correctif, appelé “adaptation chromatique”, est influencé principalement par la couleur de l’illuminant dans lequel vous baignez. Il peut aussi dépendre de certaines caractéristiques de l’objet observé, marges d’une photographies, blanc d’un écran…

Cette influence de l’environnement d’une image sur sa perception visuelle est mise en oeuvre dans l’expérience classique suivante. Les couleurs des deux carrés centraux sont composés de pixels identiques mais sont perçues comme différentes car elles sont influencées par les couleurs qui les entourent.


Adaptation de la perception visuelle aux marges d’une image.

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Adobe et Apple : mises à jour dédiées aux formats RAW

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Juste à temps pour les fêtes de cette fin d’année, Adobe et Apple publient des mises à jour dédiées aux formats RAW les plus en vogue. Si Lightroom 2.6 et Camera Raw 5.6 remplacent les versions bêta publiques homonymes, sorties il y a quelques semaines, une mise à jour pour Mac OS X embellit les logiciels Aperture et iPhoto (08 et 09) par la prise en charge de plusieurs formats RAW, ceux des derniers appareils Canon et Nikon.

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Photoshop Mobile pour iPhone, un Photoshop de poche

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Photoshop Mobile ouvert sur Photoshop.com

Photoshop Mobile est une déclinaison pour smartphones de Photoshop.com (initialement appelé “Photoshop Express”), la réponse d’Adobe à Picasa (Google). Sans offrir la puissance d’une version “desktop” (CS ou Elements), Photoshop.com offre des fonctions d‘édition tout à fait convenables avec en sus l’hébergement de 2 Go pour y sauvegarder les images à retoucher ou à partager. Ce partage ne peut se faire qu’entre membres de Photoshop.com.

Le partage de vos images (et vidéos) peut se faire de trois manières :

  • en créant un ou des albums collaboratifs (Group Album), toutes les actions sont alors possibles par les personnes autorisées : ajout, suppression, édition, téléchargement d’images (et vidéos). L’album apparaît dans la bibliothèque (Library) du collaborateur et il en gère le contenu aussi librement que s’il en était l’unique utilisateur. Le créateur de ces albums est toutefois le seul à pouvoir en limiter l’interactivité par le biais de paramètres propres à l’album ;
  • en créant des albums personnels qui ne peuvent être que visualisés (avec toutefois certaines libertés). Les membres que vous invitez ne peuvent que consulter, télécharger et commenter vos photos. Comme avec les albums collaboratifs, vous pouvez restreindre certaines actions (fermer les commentaires, refuser le téléchargement de l’original…) ;
  • en ouvrant une galerie en ligne grâce au nom de domaine créé à l’inscription sur le site. En fait, Adobe vous délivre un sous-domaine de Photoshop.com (monsite.photoshop.com). A partir de vos albums, vous définissez ceux qui figureront (ou pas) dans votre galerie.


Remarquez à gauche de cette interface de Photoshop.com la possibilité qui est offerte de se connecter à Facebook, Flickr, Photobucket, Picasa. Si depuis sa version 7, Elements est aussi synchronisable avec un compte Photoshop.com, mais Lightroom reste encore à la traîne…

Pas besoin d’installer quoi que ce soit sur votre ordinateur pour utiliser Photoshop.com. Un navigateur Internet et une adresse e-mail valide suffisent pour s’inscrire en ligne et pouvoir bénéficier d’un espace d’hébergement de 2 Go. Si cette capacité disque ne vous paraît pas suffisante, il est possible de l’augmenter moyennant dollars sonnants et trébuchants (via votre carte bleue…) en choisissant l’une des formules accessibles par le menu My Account>Upgrade account.


Tarif affiché en dollars pour une année d’hébergement.

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DxO Optics Pro : zoom sur six nouveautés de la v6

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Des aides de base pour les débutants

Par défaut, des écrans d’information s’affichent dans chaque onglet, de l’onglet Sélectionner à l’onglet Traiter, et renseignent sur les opérations qui sont accessibles pour chaque étape du traitement. C’est une aide précieuse pour qui découvre DxO Optics Pro, mais les plus aguerris pourront bien sûr désactiver ces fenêtres (et les réinitialiser ensuite si besoin) dans le menu Préférences.


L’assistant Sélectionner.


L’assistant Traiter.

De nombreuses infobulles renseignent sur l’utilisation des icônes de commande de la fenêtre Projet, et des outils courants de l’onglet Personnaliser. Néanmoins, on peut regretter qu’il n’y ait pas un peu plus d’aides contextuelles dans les menus pour éviter d’avoir à recourir au mode d’emploi.

Des corrections manuelles pour certaines optiques

DxO Optics Pro a pour logique de n’optimiser les corrections optiques que pour les objectifs qui ont été mesurés par le créateur du logiciel, afin de permettre que la netteté, la distorsion, le vignetage, etc. , soient exactement ajustés selon la focale et l’ouverture utilisées lors de la prise de vue. Il arrive que des optiques anciennes (ou trop récentes) ne disposent pas de module de correction – modules impossibles à créer pour les anciens objectifs manuels pourtant compatibles avec certains appareils récents (par exemple toutes les séries Ai, ou les Zeiss monture Ai, pour les Nikon D300 ou D700, ou bien les modèles K pour les Pentax numériques…).

Jusqu‘à la version 5, il fallait recourir à un autre logiciel, comme PtLens ou Photoshop, pour faire ces corrections. Avec la version 6, quand le module n’existe pas, DxO Optics Pro ouvre désormais automatiquement des boîtes de correction manuelle pour la netteté, la distorsion, le vignetage… C’est un gain de temps appréciable et il est même possible de créer un autoréglage d’un simple clic droit de souris à partir de ces corrections, pour pouvoir les réappliquer à chaque fois que le même objectif sera utilisé à même focale et ouverture.


Il est possible d’appliquer des corrections optiques manuelles quand l’objectif ne dispose pas de module.

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Nikon : deux nouvelles optiques pour le feu de l’action

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Deux mois avant l’ouverture des Jeux olympiques de Vancouver, Nikon présente deux nouveaux produits taillés pour la photographie de sport et d’action. Promis à remplacer l’AF-S VR NIKKOR 300 mm f/2.8G IF-ED, le nouveau super téléobjectif AF-S NIKKOR 300 MM F/2.8G ED VR II est équipé de la technologie de réduction de vibration de nouvelle génération (VR II) et du nouveau mode A/M.

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Pentax : un nouvel objectif macro

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Décidément, les spécialistes de la macrophotographie sont dorlotés ces derniers temps : objectifs stabilisés chez Nikon et Canon, ultralumineux chez Zeiss et Tamron et à focale “courte” chez Pentax, Tokina et Sony, l’offre est tellement importante qu’il devienne difficile de choisir l’optique de ses rêves. Alors que la stabilisation optique intègre déjà les appareils photo de la marque, Pentax présente le premier objectif macro tropicalisé.

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Image Ingester Pro : la productivité en amont

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Marc Rochkind, qui est également l’auteur des logiciels LRViewer et LRVmaker , propose Image Ingester Pro, utilitaire basé sur des concepts de Peter Krogh, auteur du celèbre DAM Book et éminent expert du catalogage et des flux de production pour images numériques. Disponible pour les systèmes d’exploitation Mac et Windows, Image Ingester Pro gère automatiquement certaines tâches aussi récurrentes que fastidieuses et notamment la création de plusieurs copies à partir des images importées, leur conversion en DNG et l’attribution de nombreuses métadonnées en amont du logiciel de catalogage. Les images ainsi transférées sont ainsi déjà préparées pour le traitement (vous pouvez appliquer des paramètres prédéfinis pour Camera Raw et Lightroom) et le catalogage (seules manquent des métadonnées plus spécifiques) et enregistrées en plusieurs exemplaires (une copie principale et jusqu’à deux sauvegardes). J’apprécie particulièrement le fait que le logiciel enregistre ses métadonnées sous forme de fichiers XMP, lisibles dans Bridge/Camera Raw, Lightroom, iView Media Pro/Expression Media et dans de nombreux logiciels de catalogage (IMatch, IDimager, Atomic View, etc.). Image Ingester Pro (uniquement disponible en anglais) ne s’impose donc pas uniquement aux utilisateurs de Bridge et Lightroom, logiciels avec lesquels l’intégration est tout de même la plus étroite.


L’explorateur de fichiers d’Image Ingester Pro est à la fois sobre et efficace.


L’interface utilisateur du logiciel : austère et un peu complexe au premier abord.

Voici les principaux points forts de ce logiciel utile. Notez que les fonctionnalités sont tellement importantes qu’elles justifient un manuel PDF de 82 pages (et il s’agit du manuel de la version précédente…), il est donc impossible de tous les passer en revue ici-même.

  • Copier les images à partir d’une carte mémoire ou d’un dossier. Si Image Ingester Pro détecte automatiquement la présence d’une carte mémoire ou la liaison avec un appareil photo, il suffit de cliquer sur le bouton Set pour choisir un dossier d’images sur votre ordinateur. Le logiciel parvient à enchaîner l’importation successive et automatique du contenu de huit cartes mémoire, cochez pour cela les options Auto Ingest et Auto Eject pour choisir le transfert automatique, puis pour éjecter les cartes une fois ce transfert fini. Le bouton Start démarre le transfert, quant au bouton Cards, il permet d’afficher et de gérer les cartes repérées.

  • Afficher les vignettes et sélectionner les images à importer en fonction de leur dossier, date et format de fichier. Il est ainsi possible de ne transférer que les fichiers RAW lorsque l’appareil était réglé par erreur sur le paramètre RAW+JPEG. Bien entendu, vous pouvez sélectionner manuellement les images à transférer : les boutons Check Selected et Uncheck Selected permettent alors d’inclure ou exclure les images sélectionnées du transfert, les boutons Select All, Select None et Invert Selection d’affiner, et le bouton Choose d’entériner votre choix.

  • Définir jusqu‘à trois dossiers différents pour enregistrer les images. Image Ingester Pro permet de choisir un dossier d’archives (Primary) ainsi que deux dossiers pour la sauvegarde. Si la première sauvegarde (Backup-Pre) accueille les fichiers de la carte dans leur format de fichier d’origine, vous pouvez définir pour la deuxième (Backup-Post) une conversion au format DNG. Le logiciel sous-traite le travail de conversion grâce à l’utilitaire DNG d’Adobe que vous devez installer au préalable. Le transfert des images se déroule en trois étapes, et ce, même si vous n’optiez pas pour la conversion au format DNG : un premier jeu de copies est enregistré dans le dossier Backup-Pre, un deuxième est obtenu par la duplication du premier et enregistré dans le dossier Primary et pour pour finir, le logiciel crée un troisième jeu d’images qui est enregistré dans le dossier Backup-Post. En optant pour la conversion DNG, Image Ingester Pro produit deux jeux au format DNG et un seul au format RAW : vous conservez donc toujours vos fichiers RAW propriétaires, ce qui est surtout important pour les traiter dans un logiciel ne sachant pas lire le format DNG (par exemple Nikon Capture NX2, Canon DPP ou DxO Optics Pro). A noter que Lightroom et Bridge n’autorisent à ce jour que la création de deux dossiers (dossier principal et sauvegarde), Image Ingester Pro permet donc de gagner en rapidité, surtout lorsqu’il s’agit de copier un grand nombre d’images.


Choix des dossiers d’accueil. J’organise mes archives par date (un ou plusieurs dossiers par mois) et je peux ainsi créer et enregistrer des jeux de paramètres différents pour chaque mois. Il est même possible de lancer automatiquement la gravure des fichiers de sauvegarde une fois le transfert achevé (Burn) – une option que je n’utilise pas, stockant toutes mes images sur une série de disques durs.

  • Vérifier l’intégrité des fichiers au format RAW et JPEG. Le logiciel sait tirer parti d’une fonctionnalité du convertisseur DNG qui consiste à vérifier l’intégrité des fichiers lors de la conversion en DNG, très utile pour détecter d’éventuels fichiers endommagés dans l’appareil ou lors du transfert. L’option Verify only effectue une conversion sans pour autant conserver les fichiers DNG convertis. Quant à l’option Verify JPEGs, elle permet de vérifier l’intégrité des fichiers JPEG.


Options pour la conversion et la vérification des fichiers DNG. Les paramètres de conversion sont identiques à ceux de Lightroom, Camera Raw et du convertisseur DNG.

  • Renommer les fichiers. Il existe deux courants antagoniques, dont l’un prône de renommer les images et l’autre de conserver leurs appellations d’origine. Pour ma part, je préfère renommer mes images en appliquant le modèle suivant : “initiales de l’auteur>appareil photo>date (AAMMJJ)>numéro de séquence initial”. Bien que moins complet que Lightroom et Bridge, qui permettent d’incorporer des métadonnées EXIF et IPTC aux noms des fichiers, le logiciel propose tout de même une vingtaine de modèles différents que vous pouvez adapter à vos besoins.
  • Appliquer un paramètre de développement pour Camera Raw et Lightroom. Le menu déroulant ACR/Develop Settings permet d’appliquer des réglages par défaut à l’ensemble des fichiers importés. Pour cela, Image Ingester Pro crée des fichiers XMP annexes (sidecar) ou intègre les métadonnées directement aux fichiers DNG convertis et leurs aperçus incorporés reflètent ainsi les paramètres de développement. Mais quel que soit le format des images importées (RAW ou DNG), Bridge, Camera Raw et Lightroom sont toujours à même de tenir compte de ces réglages.


Choix d’un paramètre de développement : Image Ingester Pro répertorie les paramètres enregistrés via Camera Raw (partie supérieure) et Lightroom (partie inférieure du menu déroulant)

  • Ajouter des données GPS. Voici une fonctionnalité intéressante pour les globes-trotteurs parmi les photographes. N’ayant pas à ma disposition un dispositif GPS, je n’ai pas pu l’explorer. Le logiciel peut inscrire les coordonnées GPS (latitude, longitude et altitude) aux images importées, permettant par la suite (par exemple via Lightroom) d’afficher le lieu de la prise de vue sur une carte (GoogleMaps, etc.). Le logiciel exploite pour ce faire les journaux de trajet (tracklog) au format GPX, format partagé par la plupart des dispositifs GPS. Sélectionnez l’option Enable GPS pour activer la fonction, puis indiquez au logiciel l’emplacement des journaux de trajet. Il est souvent nécessaire de synchoniser l’heure du GPS avec celle de l’appareil photo et le logiciel permet de spécifier le retard ou l’avance de l’heure de l’appareil photo par rapport à celle du GPS.



  • Attribuer des mots-clés et métadonnées IPTC. Cliquez sur la case à cocher Enabled pour activer l’ajout de mots-clés et métadonnées IPTC. Le menu Keywords permet de créer et d’appliquer ( à l’aide des boutons “+” et “-“ ) des jeux de catalogue pour iView Media Pro et Expression Media et des mots-clés pour Bridge, Lightroom, IView Media Pro/Expression Media et d’autres logiciels sachant interpréter les métadonnées XMP.



Les panneaux Photographer, Contents et Rights se consacrent aux métadonnées IPTC. Les entrées du panneau Photographer correspondent à la section Contact IPTC et celles du panneau Rights à la section État IPTC des informations de fichier dans Bridge. Notez que la notion de copyright est correctement transmise à Bridge et Lightroom — et que la barre de titre des images ainsi marquées affiche une petite icône Copyright à l’ouverture dans Photoshop.



Le panneau Content rassemble les métadonnées des sections Image IPTC et Contenu IPTC de Bridge et certaines informations propres à iView Media Pro et Expression Media (Catalog Sets, Event, Status et People).

À noter que le logiciel ne se conforme pas (encore) au tout nouveau schéma IPTC 2008 qui est déjà présent dans Lightroom 3 bêta et qui le sera sans doute aussi dans la prochaine version de Photoshop. Les champs supplémentaires relatifs à la gestion des droits, à la gestion des images et aux informations concernant le modèle et l’oeuvre figurant sur les images ne sont donc pas proposés.

  • Afficher les images transférés dans un explorateur de fichiers. Une fois les fichiers importés, vous pouvez sélectionner une application tierce (Bridge, Lightroom) pour les afficher. Cliquez sur Choose Viewer pour sélectionner un logiciel et cochez l’option Pass in folder pour afficher directement le contenu d’un des dossiers de transfert.



Choix d’un explorateur de fichiers (Bridge)

DxO Optics Pro : une version pour Snow Leopard et quinze nouveaux appareils

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Après avoir privé certains “early adopters” de Snow Leopard de leur logiciel de développement RAW, la société DxO publie enfin une version de DxO Optics Pro pleinement prise en charge par ce système d’exploitation. Alors qu’il ne s’agit pas encore de la toute nouvelle version 6.0 (dont la sortie est programmée pour le début de l’année prochaine), les utilisateurs Mac bénéficient tout de même de la prise en charge par DxO Optics Pro de 15 nouveaux appareils.

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Le magazine Eyrolles
des techniques photo

Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !