Questions Photo

Photo d’architecture : démarche informative et/ou approche esthétique ?

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La photographie de commande
Dans cette approche, le photographe met son savoir-faire et ses qualités d’artiste au service d’un commanditaire qui peut être privé (un architecte, un concepteur, un créateur, un bâtisseur) ou public (une ville, un département, un pays, un musée).
La photographie de commande présente, dans la plupart des cas, un caractère utilitaire, ce qui ne doit pas l’empêcher de posséder de grandes qualités esthétiques, pourvu que l’information véhiculée ne soit pas reléguée au second plan. Les photographies d’un même bâtiment pourront donc être très différentes selon que la demande proviendra de l’architecte, du maître d’ouvrage, des différents corps d‘état ou des fournisseurs de matériaux. Ainsi, l’architecte souhaitera que l’on révèle son travail sur la forme, les volumes, la gestion de la lumière ou l’intégration de son bâtiment dans l’environnement, alors que l’industriel sera sensible à une photographie mettant en valeur son produit dans l’architecture (matériaux de construction, équipements, etc.).
Dans cette approche “utilitaire”, différents buts sont recherchés selon la qualité des commanditaires : archivage et conservation, communication ou publicité.


Auberge des Dauphins, forêt de Saoû. Photographie pour la conservation du patrimoine de la Drôme. © Gilles Aymard (Canon EOS 1 Ds Mk III, objectif TS-E 24 mm f/3,5).

Archivage et conservation
Tout bâtiment est destiné, à plus ou moins long terme, à être démoli, soit volontairement pour être remplacé par un autre bâtiment répondant davantage à de nouvelles exigences d’urbanisme ou de démographie, ce qui est l‘évolution normale des villes, soit par des causes extérieures (guerres, séismes, catastrophes naturelles). La photographie sera une aide précieuse et complémentaire des plans (lorsqu’ils existent) pour restaurer ou reconstruire. Ce fut le cas de la première mission héliographique et des photographies d’Eugène Atget sur les bâtiments de Paris détruits pendant la guerre de 1914-1918.


Quai Claude-Bernard, Lyon, après création du tramway. © Gilles Aymard (Nikon F100, objectif PC Nikkor 28 mm f/3,5).

Communication
Les architectes, par leur appartenance à l’ordre des architectes, ne sont pas autorisés à faire de la publicité directe sur leur personne ou leur agence. Ils peuvent en revanche faire connaître leur travail par le biais de publications (presse quotidienne ou spécialisée) ou l‘édition d’ouvrages. Si le dessin reste le moyen d’expression le plus adapté pour présenter le travail de conception, la photographie permet de montrer le passage du virtuel (dessin) au réel construit, bien plus rassurant pour des donneurs d’ouvrage qui veulent confier leurs projets à des architectes aux solides références, ayant fait leurs preuves dans un domaine particulier. Ces photographies d’architecture illustreront les books de références, livres, magazines, dossiers de concours et de soumission d’appels d’offres.


Valorisation de la création de l’architecte : bureaux de l’agence BBC Architectes. Ce porte-à-faux est l’un des éléments les plus importants dans la conception de ce bâtiment. Il est mis en valeur par un effet de perspective dynamique depuis le premier plan, obtenu grâce à un point de vue rapproché et à un objectif très grand-angulaire à décentrement. © Gilles Aymard (Canon EOS 1Ds Mk III, objectif TS-E 17 mm f/4).

L’iconographe : au cœur du processus de diffusion des images

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Les frontières du métier
Certes, l’iconographe est polyvalent, mais il doit savoir poser des limites : où s’arrête son métier, où commence celui de ses collègues ? Trois tâches en particulier ne sont pas de son ressort :

  • la retouche d’image requiert des connaissances très spécifiques (maîtrise de la colorimétrie, du graphisme, etc.) qui ne s’apprennent pas en quelques heures (!), ainsi qu’un matériel adéquat (logiciels, écran calibré, etc.). C’est à l’iconographe, en revanche, de s’assurer que le droit moral de l’auteur de l’image est respecté, c’est-à-dire que l‘œuvre originale n’a pas été dénaturée (sans que l’auteur ait donné son accord écrit – voir chapitre 3) ;
  • la maquette : la mise en pages nécessite aussi des compétences précises, qui ne sont pas les siennes. Lorsqu’on lui soumet le BAT d’un magazine ou d’un livre, il n’a pas à commenter le choix de mise en pages, de polices, de couleurs, etc. ; par contre, vérifier que l’image est bien au format prévu au contrat, qu’elle n’a pas été recadrée ni retouchée abusivement, que la légende et le copyright sont corrects, fait partie de ses attributions ;
  • la prise de vue(s) est également un métier à part entière ! En dépit des apparences, on ne s’improvise pas photographe, ni vidéaste : il ne suffit pas d’appuyer sur le bouton, il faut maîtriser la lumière, le cadrage, la composition, etc. Savoir exprimer clairement la demande du client pour guider efficacement le photographe ou le vidéaste dans la réalisation de la commande sera, en revanche, entièrement de son ressort.

Divers secteurs d’activité
Il faut insister sur la diversité des “clients” ou des commanditaires. En dehors des secteurs traditionnels, qui sont tous les médias, la presse écrite et audiovisuelle, les sites Web avec maintenant les déclinaisons multisupports (sur tablettes numériques ou téléphones portables), les éditeurs de livres (édition multimédias ou print), les agences de presse et agences photographiques, ainsi que les fonds photo, les secteurs dans lesquels les iconographes peuvent évoluer sont aussi :

  • la publicité commerciale ;
  • la communication institutionnelle, print ou numérique ;
  • l’enseignement ;
  • la documentation ;
  • l‘événementiel, les expositions ;
  • la gestion de fonds et de banques d’image, pour des photographes indépendants par exemple.

Du plus petit au plus grand, dès qu’il y a utilisation d’une image, l’iconographe peut intervenir, et encore plus lorsque l’image doit être reproduite dans un cadre commercial. Mais un iconographe peut aussi ordonner un fonds photographique privé ou une collection qui n’a pas vocation à produire des revenus mais que son inorganisation rend tout simplement inexploitable.

Dans tous les cas, l’iconographe doit défendre ses compétences et son savoir-faire. Les aspects juridiques, financiers et administratifs inhérents au métier font de lui un professionnel rigoureux et exigeant, ayant à cœur de protéger les auteurs et leurs créations, et garantissant la diffusion paisible de visuels choisis avec pertinence.
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Cet article est extrait de “Profession iconographe”, prochainement disponible aux éditions Eyrolles, 292 p., 26 euros, ISBN : 978-2-212-12837-6.

L’ouvrage est coécrit par trois professionnelles de terrain. Aurélie Lacouchie est secrétaire de l’Association nationale des iconographes (ANI) et responsable de photothèque. Souâd Mechta est photographe, iconographe, et intervenante dans différentes écoles. Elisabeth Sourdillat est iconographe pour la presse et l‘édition, et enseigne le droit des images et l’iconographie à l’université de Nantes.

Akvis Enhancer 12 : une nouvelle version destinée à embellir vos images

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Akvis Enhancer vise à optimiser le contraste et la précision des détails, et ce, même pour des images sur-ou sousexposées. La nouvelle mouture indépendante du logiciel propose désormais une prise en charge directe des fichiers RAW et le traitement par lots, qui était auparavant uniquement proposé par la version plug-in s’intégrant dans Photoshop.

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Photo culinaire : transmettre un message

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La zone de netteté, plus ou moins étendue, l’emplacement des petits accessoires, jusqu’au grain de fleur de sel judicieusement disposé sur l’escalope de foie poêlée, c’est chaque parcelle de la composition qui conditionne la qualité du résultat. Pierre Desproges disait qu’entre une jolie fille et un laideron, il suffisait de quelques millimètres par-ci par-là…, il en va exactement de même pour les images que nous réalisons.

Si l’on parlait lumière…
Sans vouloir ressasser l‘étymologie du mot photographie, je me bornerai à rappeler que s’il s’agit bien d‘écriture de lumière au sens premier du terme, c’est-à-dire que la lumière imprime ses marques sur la pellicule (ou le capteur), il ne faut pas en négliger l’alphabet, ou plutôt la gamme, comme pour l‘écriture musicale.
Cette transposition dans un autre univers artistique me semble plus parlante. Le photographe compose, joue sur des tonalités, sur quelques notes de couleur, et il rythme sa composition, interprète son sujet et dispose de toute une gamme d’effets lumineux qu’il orchestre à sa guise. Puis, quand l’ensemble est harmonieux, il enregistre son œuvre.


Pot-au-feu. Recette de Michel Rochedy, restaurant Le Chabichou . (Issue de l’ouvrage Le Chabichou ou la montagne apprivoisée (Hasselblad avec dos numérique Phase One P20, f/11 à 1/60 s, 100 ISO, 150 mm.)

Si je devais “écrire” la lumière sur une feuille de papier, je pense que je me servirais d’une partition. Mon alphabet n’aurait pas vingt-six lettres ni huit notes, mais seulement six qui correspondraient aux emplacements basiques de mes sources lumineuses : devant, derrière, à droite, à gauche, dessus, dessous.
Puis, comme pour toute écriture – l’assemblage des lettres formant des mots puis des phrases, celui des sons formant un accord puis une musique –, l’assemblage de mes sources lumineuses et les différents instruments utilisés (flash, lumière continue, lumière du jour et renvois de miroirs, de réflecteurs divers, d‘éléments translucides) vont la moduler jusqu‘à l’obtention de l’image que l‘œil aura plaisir à contempler. Et, tout comme pour la musique, ce n’est pas la quantité d’instruments qui fait la qualité de l‘œuvre mais la maîtrise que l’on en a ; une apparente simplicité masque parfois bien des finesses, seule l’oreille (l‘œil) avisée saura faire la différence.

… et couleurs
Parmi mes souvenirs scolaires de la petite enfance, j’ai gardé en mémoire l’apprentissage des couleurs qui disait que l’on pouvait assembler du rouge et du vert, du bleu et du jaune, mais surtout pas du vert et du bleu. Etrange croyance qui veut que la beauté naisse uniquement du contraste des couleurs primaires.


Photo réalisée pour le magazine Les Épicuriennes, recette de pigeon de Christian Le Squer, restaurant Ledoyen (Paris). (Hasselblad avec dos numérique Phase One P20, f/11 à 1/60 s, 100 ISO, 150 mm.)

Bien souvent, j’ai eu depuis l’occasion de constater que l’emploi des couleurs n’est heureusement pas aussi simpliste et que, s’il est vrai que jouer le contraste est la garantie d’une accroche rapide du regard, c’est aussi bien souvent la garantie d’une lassitude tout aussi rapide. Ici encore, il faut nuancer et le cercle chromatique en est la parfaite illustration. Les couleurs avoisinantes cohabitent idéalement et les couleurs complémentaires apportent l‘éclat. Bien avant la naissance de la photographie, les peintres figuratifs l’avaient compris ; leurs œuvres étaient traitées de façon quasi monochromatique et rehaussées de quelques touches apportant l‘éclat et le contraste nécessaires.



Dominante rose. La recette à base de betterave rouge et de citron a été traitée dans un camaïeu de rose et de rouge. La petite touche de contraste est amenée ici par les zestes de citron d’un jaune soutenu, disposés sur les verrines. En modifiant leur couleur pour l’intégrer à la tonalité dominante, on s’aperçoit immédiatement que l’image perd tout son relief. Pourtant, la surface occupée par les zestes représente une proportion vraiment minime de l’ensemble. On peut aussi noter que la couleur jaune possède cet impact fort, car le reste des tonalités de la photo est relativement chargé en bleu, couleur complémentaire ; nous ne sommes pas sur un rose “layette”. (Client : Mathon) (Mamiya 645AFD II avec dos numérique Phase One P21, f/7,1 à 1/100 s, 100 ISO, 120 mm.)

Canon EF 100 mm F 2,8 Macro : un ancêtre toujours vert

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Qualité optique

Il est plutôt difficile de trouver un objectif macro aux performances optiques modestes. Depuis de nombreuses années déjà, les fabricants veillent à produire des objectifs polyvalents qui conservent leur excellente qualité optique (planéité du champ, absence de distorsion, piqué homogène) à toutes les distances de mise au point, même à l’infini. Les objectifs macro peuvent donc aisément se substituer aux objectifs standard (50 à 60 mm), portrait (90 à 105 mm) et télé (150 à 200 mm), pour peu que vous puissiez faire abstraction de leur luminosité plus faible.



Chat, Metzeral/Vosges. Canon EOS 5D Mark 2, EF 100 mm f/2,8 Macro, f/2,8, 1/500s, ISO 200.

Piqué

Certains photographes nostalgiques attribuent à l’ancien objectif macro sans USM des vertus extraordinaires et les courbes de transfert FTM, publiées dans la première édition de l’ouvrage “Lens Work”, laissent paraître un contraste et un pouvoir de résolution proches de ceux du successeur. Les tracés sont en en plus quasiment horizontaux et les différences entre les courbes tangentielles et radiales plutôt menues, indiquant des flous d’arrière-plan (bokeh) très naturels. En pratique, la qualité optique de l’EF 100mm F2.8 Macro est exemplaire. Utilisable dès sa pleine ouverture, l’objectif offre un très bon contraste et un pouvoir séparateur élevé et ce, même lorsqu’il est associé à un capteur plein format de 21 mégapixels. Après avoir fermé le diaphragme d’un ou de deux crans, le piqué de l’objectif est excellent et très homogène. En revanche, mieux vaut se méfier des méfaits de la diffraction optique : sur le même appareil, j’évite de fermer le diaphragme au-delà des valeurs f/ 16 (infini) ou f/11 (rapports macro). En vissant davantage, la perte de piqué sera beaucoup plus néfaste que le gain en profondeur de champ sera bénéfique.




Sous la neige, Metzeral/Vosges. Canon EOS 5D Mark 2, EF 100 mm f/2,8 Macro, f/4, 1/125s, ISO 100.

Distorsions, vignetage et aberrations chromatiques

La distorsion est négligeable, et ce, quelle que soit la distance de mise au point. Le vignetage est particulièrement sensible (et gênant) à pleine ouverture, mais il disparaît dès f/5,6. Si les aberrations chromatiques latérales sont quasiment inexistantes, les aberrations chromatiques longitudinales sont parfois visibles. On parle alors souvent du “bokeh fringing”, phénomène qui se manifeste par des franges violettes et vertes, situées des deux côtés de la zone de mise au point. Toutefois, seules les optiques de conception véritablement apochromatique échappent à ce défaut, sachez qu’elles sont aussi rares qu’elles sont onéreuses.

Flare et Reflets parasites

Canon n’a jamais livré et proposé de pare-soleil avec cet objectif. Et pour cause, la lentille frontale se situe au fond du corps avant de l’objectif qui fait ainsi figure de pare-soleil incorporé. Il en résulte une excellente protection contre les lumières parasites. Cependant, ne cédez surtout pas à la tentation de lui ajouter un filtre de protection. La lentille frontale ne risque ni salissures ni abrasions mécaniques et l’emploi d’un filtre conditionnerai alors celui d’un pare-soleil.

Bokeh
Le diaphragme de l’EF 100mm F 2,8 Macro possède huit pétales et le bokeh, c’est à dire le rendu des parties hors profondeur du champ des images est très naturel et harmonieux.



Magnolia. Canon EOS 5D Mark 2, EF 100 mm f/2,8 Macro, f/2,8, 1/2000s, ISO 100.


Datacolor SpyderCheckr : le Passport killer ?

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Le nouveau produit existe dans deux déclinaisons : le coffret SpyderCheckr comprend un étui en matière plastique, quatre mires imprimées, le logiciel SpyderCheckr et un guide de démarrage rapide et SpyderCheckr Pro comporte aussi SpyderCube, outil astucieux et pratique pour le réglage de la balance des blancs et de l’exposition.





Datacolor SpyderCheckr et X-rite ColorChecker Passport : le gabarit n’est pas le même…

Si Colorchecker Passport se glisse facilement dans une poche (jean,chemise ou sacoche photo), SpyderCheckr est environ trois fois plus encombrant, compromettant son utilité sur le terrain (dans un studio photo, l’encombrement n’est en revanche pas si important). Plus élégant que celui abritant les mires X-Rite, l’étui de SpyderCheckr accueille deux mires couleur que vous pouvez retourner pour faire apparaître deux autres en valeurs de gris neutre, dédiées à la balance des blancs et l’évaluation de l’exposition. Facilement détachables (les cadres sont dotés d’aimants et les mires d’encoches garantissant leur placement correct), les mires peuvent être remplacées en cas de salissure ou de vieillissement.





Reco et verso : les chartes se détachent facilement pour un futur échange.

Pour contrôler l‘état des cibles, l’étui comprend un témoin (FadeCheckr) qui tient compte de son exposition à la lumière. Pour rendre la cible inopérante, il faudrait l’exposer pendant 30 jours au soleil aveuglant du sud ouest américain. Une fois ce seuil est atteint, sa couleur changera de rouge en jaune pour vous ainsi avertir de la nécessité de remplacer les mires. Datacolor commercialisera des cibles de rechange à partir du mois de juin.



FadeCheckr : une solution astucieuse pour évaluer le vieillissement.


Pour en permettre l’installation sur un trépied photo, SpyderCheckr est doté d’un pas “Kodak” (1/4 pouces) et pour fixer le SpyderCube, d’une fixation du même type. Notez que les spigots d’adaptation de nombreux supports d’éclairage (notamment les miens) se conforment au pas du congrès (3/8 pouces), légèrement plus gros – il sera donc parfois nécessaire d’acquérir un adaptateur dédié pour pouvoir y fixer SpyderCheckr.

Datacolor se vante d’avoir intégré deux fois plus de plages de couleur que son concurrent : alors que le logiciel Colorchecker Passport s’appuie sur l’analyse des vingt-quatre plages colorées de la mire ColorChecker, SpyderCheckr bénéficie de l’intégralité des plages (48) des deux mires colorées. La mire de droite comporte par ailleurs toutes les couleurs de la mire ColorChecker, seule l’ordre des plages a été modifiée – il sera donc impossible de panacher les produits des deux clans Adobe/X-Rite et Datacolor ! La mire de gauche comporte, quant à elle, deux rangées de teintes pastelles, suivies d’une rangée de tons chair et d’une rampe en valeurs en gris neutre.



Incompatible : si les plages de la mire de droite sont empruntées du ColorChecker, leur ordre est différente.


Les agences photographiques et les droits des auteurs

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Les agences photographiques, d’illustration ou de presse, constituent une source incontournable d’images. Elles ne sont cependant pas titulaires des droits d’auteur sur les œuvres qu’elles fournissent à leurs clients, mais dépositaires des œuvres. En effet, les photographes, auteurs des images, en conservent la propriété…

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Le magazine Eyrolles
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