Questions Photo

Adobe Camera Raw : le plug-in fête son dixième anniversaire

L'interface de Camera Raw 1.0, plug-in payant pour Photoshop 7, était encore très rudimentaire. Alors qu'il proposait déjà deux curseurs pour l'ajustement de la balance des blancs, Température et Teinte, il n'y avait que quatre curseurs pour ajuster la tonalité des images et un seul pour réduire ou augmenter la saturation des couleurs. Notez tout de même la présence d'un filtre anti-moiré.

Chez Adobe, le 19 février est une date hautement symbolique puisqu’elle marque la naissance de trois logiciels emblématiques, Photoshop, Camera Raw et Lightroom. Ainsi, Photoshop est né le 19 février 1990, Camera Raw, le 19 février 2003, et Lightroom le 19 février 2007. Voici, avec quelques jours de retard, quelques infos sur la fulgurante carrière de Camera Raw.

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Photographie de concert : la composition

Nikon D700, 35 mm f/2,8 à 100 mm (3 200 ISO, 1/160 s à f/2,8).

Réaliser des portraits individuels

Ces deux images d’Alison Mosshart, chantant avec The Dead Weather, ont été réalisées à quelques secondes d’intervalle. Le cliché de droite est plus susceptible de plaire à un rédacteur de magazine photo, car son visage n’est pas caché. Photos prises avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 80-200 mm f/2,8D AF-S (640 ISO, 1/250 s à f/2,8, mesure Spot).

Les chanteurs sont souvent le point focal principal du groupe puisqu’ils sont normalement sur le devant de la scène et au centre de l’action. Deux cas de figure sont possibles : le chanteur reste debout presque tout le temps sans trop bouger – la prise de vue est alors relativement simple –, ou le chanteur ne tient pas en place – dans ce cas, les choses se compliquent un peu.

 

Employez les plans serrés pour montrer l’humeur du chanteur, retranscrire ses émotions. Ainsi, celui qui regardera vos clichés aura l’impression d’une réelle proximité avec l’artiste

Chanteurs et rappeurs

En zoomant avec un 70 mm, j’ai pu réaliser ce gros plan de Mike Ness, chanteur du groupe Social Distortion. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 28-70 mm f/2,8 à 70 mm (1 100 ISO, 1/80 s à f/2,8, mesure Spot).

Le principal problème que vous allez rencontrer avec les chanteurs est celui du micro qui peut occulter leur visage ou projeter des ombres disgracieuses – soyez donc vigilant afin de les éviter. C’est particulièrement vrai avec les rappeurs, qui ont tendance à dissimuler leur visage derrière le micro. La clé est de saisir le moment où le chanteur, ou le rappeur écartent suffisamment le micro pour avoir le temps de photographier l’ensemble de son visage.

Au quotidien ou dans les concerts, il existe trois manières de réaliser des portraits : en plan serré, en plan américain ou en pied.

  • Les plans serrés sont comparables aux gros plans en photo de portrait où le visage du chanteur (ou sa tête) s’inscrit dans tout le cadre. Pour les réaliser, il est généralement nécessaire de dis — poser d’un téléobjectif, comme un 70-200 mm. Mais si vous êtes assez près, un zoom standard peut suffire. Pour les portraits en gros plans, essayez aussi d’inclure dans votre composition une main de l’artiste, voire les deux. En revanche, évitez les vues en contreplongée peu flatteuses, cela arrive sou- vent lorsque le chanteur est sur le bord de la scène et que vous vous trouvez juste en dessous.

Voici un bel exemple de contre-plongée dans les narines. Même les pros avertis peuvent, dans le feu de l’action, réaliser ce type de cliché. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 28-70 mm f/2,8 à 28 mm (900 ISO, 1/125 s à f/2,8, mesure Spot).

  • Les plans américains sont incontournables en photo de concert. Ils cadrent l’artiste jusqu’à la taille, voire aux  genoux (voir page 141). Pour donner un sentiment de proximité, ils se prennent d’assez près, tout en incluant davantage de scène (l’éclairage ou l’arrière-plan, par exemple). Ils permettent aussi de révéler la tenue vestimentaire de l’artiste, élément qui peut être aussi important dans la mise en scène que le décor ou l’éclairage.

    Ce cliché du crooneur de rock alternatif Morrissey, pris au Bass Concert Hall à Austin (Texas), est un plan américain à l’horizontal, ce qui est peu habituel. L’espace négatif (le fond) et le cadrage lâche ajoutent une certaine tension dynamique. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 28-70 mm f/2,8 à 70 mm (900 ISO, 1/320 s à f/2,8, mesure Spot).

  • Pour ma part, je préfère réserver les photos en pied aux artistes très dynamiques. Généralement, j’opte pour un grand-angle non seulement pour saisir l’artiste en entier, mais aussi pour ajouter un peu de distorsion de perspective et donner ainsi un certain effet à l’image. Pour les réussir, il faut saisir le sujet au summum de son action, qu’il soit en train de sauter ou de se jeter en arrière en tenant une note.

Conseil de pro : des clichés d’un artiste debout et statique n’ont guère d’intérêt. Essayez par conséquent de saisir un mouvement ; un regard ou un geste du chanteur apporteront une touche personnelle bienvenue, le petit plus qui anime une image.

Lorsque le chanteur Chris Cornell de Soundgarden se donne à fond, il sort toutes ses tripes. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 14-24 mm f/2,8 à 24 mm (3 200 ISO, 1/320 s à f/2,8, mesure Spot).

Ici, la chanteuse pop Colbie Caillat jette à l’appareil photo un regard impassible. Les rédacteurs de magazine photo raffolent des clichés où le regard de l’artiste est dirigé vers le boîtier. Photo prise avec un Nikon D300s équipé d’un objectif Tamron 17-50 mm f/2,8 à 50 mm, équivalent à 75 mm (1 600 ISO, 1/80 s à f/2,8, mesure Spot).

J’ai saisi cette image en pied d’Alison Mosshart, avec The Dead Weather, juste au moment où elle venait de sauter sur les enceintes pour faire chanter le public. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 80-200 mm f/2,8D AF-S à 185 mm (200 ISO, 1/400 s à f/3,2, mesure Spot).

Karen O de Yeah, Yeah, Yeah fait le show. Sur scène, elle ne cesse de bouger et de se contorsionner, permettant de réussir de très beaux clichés, bien qu’il soit parfois vraiment difficile de la saisir. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 80-200 mm f/2,8 à 120 mm (200 ISO, 1/640 s à f/2,8, mesure Matricielle).

Nikon, Olympus, Panasonic et Sigma : huit nouveaux objectifs

AFS1835-2

Olympus renouvelle  l’objectif zoom télé M.Zuiko Digital ED 4,8-6,7/75-300 mm du système Micro Four Thirds. Si La nouvelle version, le Zuiko Digital ED 75-300 mm 1:4.8-6.7 II, conserve la plage des focales et la luminosité du prédécesseur, elle bénéficie de deux améliorations : les technologies MSC et ZERO. Pour la première, il s’agit d’un nouveau mécanisme de mise au point, permettant un AF à la fois plus rapide et plus silencieux, ce dernier point étant particulièrement important en mode vidéo. Quant à ZERO, c’est abréviation de « ZUIKO Extra-low Reflection Optical », un revêtement multicouches des surfaces optiques destiné à réduire les parasites en contre-jour. Avec un poids de 425 g, l’objectif est très léger et il bénéficie d’une construction optique ambitieuse, avec 18 éléments en 13 groupes dont 2 éléments en verres ED, 1 en verres Super-ED et 3 en verres HR. Le Zuiko Digital ED 75-300 mm 1:4.8-6.7 II sera disponible à partir de mars 2013 au tarif officiel de 549 euros ttc.

Données techniques

  • Focale : 75-300 mm
  • Luminosité maximale : f/4,8 (75 mm ) à f/6,7 (300 mm)
  • Ouverture minimale : f/22
  • Angle de champ : 16 – 4,1°>
  • Construction optique : 18 éléments en 13 groupes
  • Distance de mise au point mini : 0,9 m (75mm)
  • Rapport de grossissement max : 0,18 x
  • Diaphragme/nombre de lamelles : 7
  • Système MaP : interne
  • Moteur AF : MSC
  • Diamètre de filtre : 58 mm
  • Dimensions : 69 x 116,5 mm
  • Poids : 423 g

Panasonic présente, quant à lui, un nouvel  objectif zoom standard pour le système Micro Four Thirds. Le LUMIX G VARIO 14-42mm/F3.5-5.6 II ASPH./O.I.S intègre un moteur de mise au point à la fois silencieux et rapide et comporte 9 éléments en 8 groupes dont 2 surfaces asphériques pour réduire les dimensions et le poids de l’objectif. LUMIX G VARIO 14-42mm/F3.5-5.6 II ASPH./O.I.S intègre un stabilisateur d’images et autorise une distance de mise au point minimale de 20 (14-20 mm) ou 30 cm (21-42 mm) pour un rapport de grossissement de 0,17 fois. Le diaphragme comporte sept lamelles pour un « bokeh » agréable. Livré avec son pare-soleil dédié, il sera disponible à partir de mois de mars 2013, au prix de 249 euros ttc.

Données techniques

  • Focale :14-42 mm
  • Luminosité maximale : f/3,5 (14 mm ) à f/5,6 (42 mm)
  • Ouverture minimale : f/22
  • Angle de champ : 75- 29°
  • Construction optique : 9 éléments en 8 groupes
  • Distance de mise au point mini : 0,2  ou 0,3 m
  • Rapport de grossissement max : 0,17 x
  • Diaphragme/nombre de lamelles : 7
  • Système MaP : interne
  • Stabilisateur : O.I.S
  • Diamètre de filtre : 46 mm
  • Dimensions : 56 x 49 mm
  • Poids : 110 g

La technologie des objectifs

Quelques éléments de la superbe gamme des objectifs Nikkor AF.

Lentilles en fluorite et verres à faible dispersion

L’aberration chromatique est provoquée par le fait que la lumière passant à travers le verre est d’autant plus réfractée que sa longueur d’onde est plus courte. Ce phénomène est démontré par l’expérience du prisme de Newton, dispersant un faisceau de lumière blanche en spectre coloré. L’aberration chromatique est d’autant plus marquée que l’objectif est de plus longue focale et de plus grande ouverture. Sa correction est historiquement obtenue par l’emploi d’un doublet, c’est-à-dire une lentille convergente en verre Crown peu dispersif (nombre d’Abbe A > 55, indice de réfraction n < 1,6) collée à une lentille divergente en verre Flint très dispersif (A < 50, n > 1,6). Selon cette configuration, la correction n’est assurée que pour deux couleurs primaires, par exemple le bleu et le vert. La fluorite (CaF2), substance minérale cristalline, présente des caractéristiques particulières associant un faible indice de réfraction (n = 1,43) et une très faible dispersion (A = 95,6), particulièrement dans le bleu et le vert. L’emploi d’une lentille en fluorite permet la correction apochromatique, c’est-à-dire étendue à l’ensemble du spectre visible, d’un super-téléobjectif à grande ouverture.

Chez Canon, les super-téléobjectifs de 300 à 600 mm, ainsi que deux zooms à ouverture constante incorporent une lentille en fluorite et une ou deux lentilles asphériques. Les lentilles en fluorite étant onéreuses et fragiles, les opticiens utilisent plus volontiers des verres optiques spéciaux, dont il existe deux grands types. Le nom des objectifs utilisant ces verres spéciaux est complété de sigles divers : Canon UD (Ultra low Dispersion), Minolta/Sony LDO, Tamron LD, Nikon, Olympus, Pentax ED, Sigma SLD, Tokina SD, etc. Ces appellations propriétaires sont des termes de marketing appliqués à des verres semblables, car tous s’approvisionnent en verres spéciaux bruts chez les mêmes 4 ou 5 fabricants verriers mondiaux.

L’autre type de verres spéciaux est les verres à dispersion anomale. En simplifiant, on peut dire que la dispersion est due à ce que la lumière de courte longueur d’onde (le bleu) se propage un peu moins vite dans le milieu transparent que la lumière de plus grande longueur d’onde (le rouge). Ainsi, l’indice de réfraction n du milieu transparent décroît-il quand la longueur d’onde diminue ou, ce qui revient au même, quand la fréquence augmente. C’est pour cela que le bleu est plus dévié vers la base du prisme que le rouge. La dispersion du verre optique est dite normale quand l’étalement du spectre est à peu près proportionnel aux longueurs d’onde. Mais il y a des verres optiques, dont les caractéristiques se rapprochent davantage de celles de la fluorite, avec lesquels la dispersion est normale sur une partie du spectre et anomale sur une autre. C’est le cas, par exemple, si la lumière rouge est relativement plus retardée que la lumière bleue et se rapproche du vert, ce qui concentre le spectre de dispersion, en permettant ainsi une meilleure correction de l’aberration chromatique. Dans quelques- uns de ses objectifs les plus élaborés, Minolta (donc Sony) signale la présence de lentilles en verre à dispersion dite « anomale » (AD = Anomalous Dispersion). Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y en a pas chez les autres !

Mise au point interne, mise au point arrière

Autrefois, la fonction manuelle de mise au point impliquait le déplacement longitudinal de l’ensemble des lentilles de l’objectif. Avec les objectifs AF, au contraire, la mise au point ne mobilise que le déplacement d’un ou plusieurs groupes de lentilles situés devant le diaphragme (mise au point interne ou IF) ou derrière le diaphragme (mise au point arrière ou RF). Dans les deux cas, le fait de ne déplacer qu’une partie des lentilles de moindre diamètre requiert moins d’énergie de motorisation et accélère la mise au point AF. De plus, la lentille antérieure de l’objectif restant fixe, la mise au point ne modifie pas l’orientation d’un filtre polariseur ou dégradé, par exemple.

Mise au point interne (IF). Ce principe permet d’effectuer la mise au point pour toutes les distances en ne déplaçant que deux groupes optiques internes. Avantages : longueur constante de l’objectif, la lentille frontale ne tourne pas (ce qui facilite l’emploi d’un filtre dégradé ou d’un polariseur), mise au point minimale plus courte, plus grande rapidité de l’AF.

Retouche manuelle de la mise au point en mode AF

Sur les reflex actuels, le couple boîtier-objectif assure une mise au point AF rapide et précise, encore plus efficace grâce à la sélection automatique ou manuelle des collimateurs AF. En photo d’action et sportive notamment, il est souvent nécessaire de retoucher à l’ultime moment la mise au point effectuée par l’AF. Au lieu d’avoir à repasser en mode manuel, un grand nombre d’objectifs EF motorisés USM de Canon (ainsi que les objectifs à moteur intégré des autres fabricants) permettent, sans quitter le mode AF, de rectifier le point en agissant directement sur la bague de mise au point de l’objectif. Avec ces objectifs, le système FT-M (Full-Time Manual focusing) permet la mise au point manuelle, soit électroniquement (détection du taux de rotation de la bague et déplacement motorisé du groupe optique de mise au point), soit mécaniquement (découplage du moteur AF).

Préréglage de mise au point

Ce système appelé Focus Preset, disponible sur les super-téléobjectifs et certains télézooms (Canon, Nikon, Minolta, peut-être d’autres), permet de spécifier et de mémoriser une distance de mise au point bien précise, puis de la rappeler instantanément en pressant une touche de l’objectif. Durant un match de foot, par exemple, on règle cette distance sur le but afin de saisir instantanément un tir décisif, sans que cela empêche de suivre les actions se déroulant à diverses distances sur le reste du terrain.

Limiteur de distance de mise au point

Par définition, le débattement de la rampe de mise au point d’un objectif va de la distance minimale à l’infini. Pour détecter le sujet, le système AF doit effectuer un aller-retour sur toute l’étendue des distances. Sur beaucoup d’objectifs de longue focale ou de type macro, avec lesquels la variation de tirage est relativement importante, un limiteur de mise au point AF permet de restreindre volontairement la course à la zone de distance où évolue un sujet mobile, ce qui accélère le fonctionnement de l’autofocus. Sur tel super-télé Nikon de 300 mm, par exemple, on peut régler le limiteur de mise au point AF pour une zone proche ou pour une zone lointaine, l’autre limite étant l’infini ou la distance minimale de mise au point (2,5 m pour cet objectif).

Résultats du concours Eyrolles et Blurb

Respectivement, de gauche à droite, les gagnants du 1er, 2ème et 3ème prix

Le jeu concours « Créez vos livres photo avec Lightroom et des cartes cadeaux Blurb » est terminé depuis ce midi, merci à tous les participants !

Sans plus attendre, voici les 3 gagnants :

  • 1er prix : Seb M.  remporte le livre  « Créez vos livres photo avec Lightroom » ainsi qu’un crédit de 150€ à utiliser sur le site de notre partenaire Blurb.fr, de quoi concrétiser son beau projet de livre !
  • 2ème et 3ème prix : Grégorie Brossard, grâce à son commentaire Facebook,  et @gauriaud grâce à son Tweet. Ils remportent chacun un exemplaire du livre ainsi que 75€ de crédit à utiliser sur le site de notre partenaires Blurb.fr.

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LightZone : un revival tout en douceur

LightZone 3.9.2 sur Mac OS X 10.8.2 : toujours opérationnel, grâce à un petit correctif téléchargé sur le site LightZoneProject. Et ce, même avec certains boîtiers plus récents que la dernière version du logiciel puisqu'il suffit de remplacer l’exécutif de dcraw.

Il y a plus d’un an, nous avons annoncé sa disparition officielle, mais finalement il semble continuer son petit bonhomme de chemin, cette fois-ci de façon officieuse. Vous souvenez-vous encore de LightZone, un des premiers logiciels de développement RAW à introduire des corrections locales et de son outil de redistribution des tonalités directement inspiré du système de zones d’Ansel Adams ?

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Jeu concours « Créez vos livres photo avec Lightroom » et des cartes cadeaux Blurb

Jeu concours Blurb Eyrolles

À l’occasion de la parution du nouveau livre de Gilles Theophile et Céline Jentzsch, Créez vos livres photo avec Lightroom, les éditions Eyrolles et Blurb, l’un des leaders du marché du livre photo, organisent sur QuestionsPhoto un grand jeu concours du 9 au 16 janvier (à midi).

Trois gagnants auront la chance de remporter un pack comprenant un exemplaire du livre ainsi qu’une carte cadeau valable sur le site Blurb pour réaliser son propre livre photo ! L’occasion de faire vivre et partager vos plus belles photos de voyages ou de souvenirs en famille par exemple… Lire la suite

Fujifilm X100s et X20 : passage à la technologie X-Trans

Look rétro : le X100s rappelle furieusement les "roaring sixties et seventies" du dernier siècle

Fujifilm vient de présenter deux nouveaux appareils de la série haut de gamme « X » : le X100s, remplaçant du X100  et le X20, successeur au X10. Le renouvellement de ces deux appareils est aussi marqué par celui des capteurs : alors que les anciens modèles étaient encore équipés de capteurs « classiques » à matrice Bayer, les nouveaux arborent un design exclusif, à matrice X-Trans CMOS II.

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Le magazine Eyrolles
des techniques photo

Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !