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La photo animalière : focus sur la rainette verte

rainette

Matériel et technique

Utilisez un boîtier reflex et un objectif macro. Un compact ou un bridge, s’ils possèdent une faible distance de mise au point, conviendront aussi très bien.

Une fois que vous avez trouvé votre sujet, pas de panique : la rainette a une confiance quasi absolue dans son mimétisme et votre présence, même très proche, ne la fera pas bouger. Vous avez alors tout le loisir de prendre vos images tranquillement ; prenez le temps de chercher le meilleur angle. L’utilisation d’un pied est possible mais faites attention de ne pas le cogner dans les végétaux où se trouve la rainette.

rainette

Pour réaliser cette image, j’ai profité de la belle lumière d’un matin de printemps. Il faut faire bien attention à l’exposition avec les fleurs de prunellier, elles sont d’un blanc très pur et surexposent facilement.

Vous pouvez faire différentes tentatives, par exemple commencer par des images avec un objectif macro, puis faire des essais au grand-angle. Pensez à varier les cadrages et les points de vue. Il est intéressant de réaliser un très gros plan, l’animal ayant une bouille vraiment sympa. Lorsque vous travaillerez avec de faibles profondeurs de champ, qui ne gardent que la tête de l’animal nette, assurez-vous de bien faire la mise au point sur les yeux. Il est également possible de réaliser des plans plus larges, pas forcément avec un objectif macro, où l’animal est présenté dans son environnement.

Au niveau de la lumière, le plus simple est de travailler en éclairage naturel. Une lumière légèrement tamisée sera parfaite, par exemple un jour où le ciel comporte des petits nuages qui font office de diffuseur. Si le soleil est très fort, vous pouvez intercaler un diffuseur, entre le sujet et sa lumière.

Le flash, s’il est bien utilisé, peut donner de très bons résultats. Attention à éviter les reflets blancs qui peuvent être produits sur la peau humide du batracien par l’éclair du flash. Prenez soin aussi de ne pas envoyer d’éclairs trop puissants car la peau humide de la rainette a tendance à facilement être surexposée. L’idéal est d’utiliser deux flashs déportés, avec des puissances différentes pour obtenir plus de modelé.

rainette

Posée sur une branche au cœur de la végétation, la rainette a une confiance presque absolue dans son mimétisme, laissant au photographe tout le temps de soigner son cadrage et sa composition.

 
Ce texte est extrait du livre d’Erwan Balança, Le grand livre de la photo de nature, paru aux éditions Eyrolles (ISBN 978-2-212-13389-9, 256 pages).
 
couverture
 
Erwan Balança fait partie des rares photographes de nature professionnels en France. Ses images sont publiées dans de nombreux livres et magazines et font l’objet d’expositions dans le monde entier. Vous pouvez découvrir ses images et son actualité sur son site http://www.erwanbalanca.com

Quel boîtier pour la photo de nature ?

lapin

Une mesure de la lumière très précise

Il existe plusieurs modes de mesure de la lumière sur les reflex numériques. La plus couramment utilisée est la mesure Matricielle. L’appareil effectue la mesure sur l’ensemble de la scène, ce qui est efficace dans la majorité des situations rencontrées. Avec les éclairages complexes, il est préférable d’employer la mesure Pondérée centrale. La mesure est alors faite sur l’ensemble de la vue mais en privilégiant sa partie centrale. La mesure Spot, quant à elle, permet à l’appareil d’effectuer la mesure sur un point précis de l’image ; reste au photographe à déterminer sur quelle partie de la scène faire cette mesure. Ces différents modes de mesure sont présents sur tous les reflex. En revanche, si vous possédez ou comptez acheter un compact, un hybride ou un bridge, il faudra peut-être vérifier si vous avez accès à de telles options.

sterne pierregarin

Sterne pierregarin en pêche. Les scènes avec un fond noir et un sujet éclairé par derrière peuvent induire le posemètre en erreur. Il aura alors tendance à surexposer l’image. Il est préférable de faire une mesure Spot sur un point éclairé, comme le sujet, et de mémoriser cette exposition. Attention, tout cela doit aller très vite !

Une cadence moteur élevée

L’évolution du matériel au cours des dernières années a permis d’atteindre le chiffre de 3 ou 4 images par seconde sur de nombreux appareils. Les boîtiers pros arrivent à des cadences de 10 images par seconde, mais de telles capacités sont rarement utiles.

barge

Le moteur a permis de réaliser plusieurs images au moment où cette barge effectuait un saut.

De la robustesse et de la solidité

En photographie animalière, le matériel est souvent mis à rude épreuve ; les chocs, l’humidité, le sable et la poussière sont difficiles à éviter. Il suffit de lire une notice de boîtier pour se rendre compte que ces conditions sont bien loin des recommandations préconisées pour un usage idéal ! Certains boîtiers sont dits « tropicalisés » : des joints et des cloisons en silicone assurent l’étanchéité à l’eau et à la poussière des parties à risques (boutons, roues codeuses…). Ces éléments ne protègent pas l’appareil d’une immersion, mais permettent son utilisation dans des situations difficiles (neige, pluie, poussière…). Attention cependant, lors d’un usage en conditions délicates, il faut équiper le boîtier d’un objectif ayant lui aussi une finition tropicalisée. Ce matériel professionnel ou semi-professionnel est très coûteux, mais sachez qu’aujourd’hui, les boîtiers haut de gamme offrent déjà une résistance importante.

Quelle que soit la robustesse de votre équipement, la réalisation de certaines images présente une prise de risque importante pour le matériel : insectes photographiés au ras de l’eau, prises de vue nécessitant de monter dans un arbre… Utilisez alors, si possible, de vieux boîtiers n’ayant plus une grande valeur. Si vous achetez du nouveau matériel et que votre ancien équipement fonctionne encore, gardez-le, il ne vaut de toutes façons plus grand-chose car le numérique « décote » de façon terrible, mais il pourra vous servir dans de telles situations.

Un viseur grand et lumineux

Disposer d’un viseur de grande taille, comme sur les boîtiers pros et haut de gamme, offre un confort et une précision de prise de vue dans des conditions de faible lumière.

Les fonctions utiles

Le testeur de profondeur de champ, très utile en photo animalière, permet de voir dans le viseur la zone de netteté telle qu’elle apparaîtra sur l’image. Attention, tous les boîtiers ne disposent pas de cette fonction.

La prise de télécommande (pour déclenchement extérieur) est indispensable si vous comptez utiliser le déclenchement à distance ou le piégeage. Elle permet de relier le boîtier à un cordon muni d’un déclencheur ou à un récepteur de télécommande.

Une synchronisation flash de 1/200 ou 1/250 s sera très pratique si vous devez utiliser le flash en pleine journée pour déboucher des ombres ou figer un mouvement.

Cet été, photographiez les étoiles filantes !

fig4

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La prise de vue

Installez votre appareil sur son trépied et dirigez-le vers le ciel. Aucune région céleste n’est privilégiée : vous avez autant de chances de capturer une étoile filante quelle que soit la direction visée. Profitez-en pour éviter les zones où la pollution lumineuse des villes et villages environnants est la plus intense et génère un vilain halo orangé.

Si vous le pouvez, incluez la Voie Lactée dans l’image, elle constituera un bel arrière-plan. Placez l’appareil en mode RAW et choisissez un réglage de sensibilité élevé, autour de 800 ou 1 600 ISO. Le réglage de balances des blancs doit toujours être positionné sur « Lumière du jour » (ou Soleil). Désactivez le mode « Réduction de bruit longue pose », il vous ferait perdre la moitié du temps de la séance de prise de vue.

Toute votre vigilance est requise pour la mise au point, souvent délicate en astrophotographie.

  1. Tentez une mise au point en autofocus en centrant l’étoile la plus brillante du ciel (par exemple Véga en été).
  2. Contrôlez impérativement le résultat un réalisant une pose courte (une ou deux secondes) que vous visualiserez ensuite à l’agrandissement maximal sur l’écran de l’appareil, afin de vous assurer que la mise au point est satisfaisante.
  3. Si ce n’est pas le cas, passez le mode de mise au point de votre objectif en « manuel », activez le mode « Live view » de votre appareil ainsi que sa loupe grossissante, visez une étoile brillante et faites la mise au point en utilisant la bague manuelle de l’objectif (à laquelle vous veillerez à ne plus toucher accidentellement par la suite !).
  4. Vous n’avez plus qu’à cadrer selon vos désirs et à lancer une série de poses. La durée de chaque pose est à ajuster par essais : plus elle est longue, plus les étoiles seront enregistrées sous forme de traînées (à cause de la rotation de la Terre). Si vous voulez qu’elles restent à peu près ponctuelles, cantonnez-vous à une durée inférieure à la minute.

 

T_Legault

T_Legault

T_Legault

T. Legault

Ces poses de durée croissante montrent l’effet de la rotation de la Terre sur l’apparence des étoiles.

Lors des nuits humides, il est à craindre que la lentille frontale de votre objectif ne se couvre plus ou moins rapidement de condensation. Installez-lui son éventuel pare-soleil, et utilisez un sèche-cheveux en dernier recours si vous en disposez. L’essuyage de la lentille (même avec un tissu adapté) est déconseillé, la buée revenant presque immédiatement.

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Lightroom 5 : corrigez la perspective de vos images avec le nouvel outil Upright

Fig_Ex38_Intro

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Étape 6

Le mode Complet va procéder à une analyse en trois dimensions du contenu de l’image et tenter une correction de l’horizon, des verticales et des horizontales sans faire de compromis, sans essayer de conserver un résultat naturel. Son application peut entraîner une rotation importante de l’image, ainsi que le non-respect du rapport largeur/hauteur original (une fois que vous aurez recadré pour éliminer les zones vides matérialisées en blanc). Dans les cas extrêmes, nous vous conseillons fortement de comparer les résultats avec ceux du mode Auto…

LR5 - outil Upright - exercice Gilles Theophile, image 6

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Étape 7

Comparons justement les résultats obtenus par l’outil Upright en mode Complet (étape 6) et en mode Auto (ci-dessous) : le rendu reste visiblement bien plus naturel en mode Auto.

Retenez que la méthode idéale de travail avec Upright consiste à essayer les boutons les uns après les autres : les corrections sont immédiates, vous pouvez les accepter ou changer de mode en quelques clics – vous gagnerez beaucoup de temps par rapport aux corrections avec les outils plus classiques comme Transformation ou « Recadrer et redresser ».

LR5 - outil Upright - exercice Gilles Theophile, image 7

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Étape 8

Si vous utilisez l’outil Upright sur une image déjà recadrée ou dont les perspectives ont été redressées au préalable avec l’outil Transformation, ces corrections seront systématiquement annulées, comme indiqué par les instructions affichées dans l’onglet Basique. Vous pouvez néanmoins forcer Lightroom à les conserver en pressant la touche Alt/Option quand vous manipulez les commandes de Upright.

LR5 - outil Upright - exercice Gilles Theophile, image 9

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Étape 9

Lightroom permet de synchroniser les corrections de Upright d’une image source vers une sélection d’images de destination. Pour cela, choisissez l’une des deux options proposées dans la boîte de dialogue – attention à la nuance :

  • « Mode Upright » : chaque image sera analysée et corrigée selon le contenu qui lui est propre ;
  • « Transformations Upright » : les corrections de l’image source seront appliquées exactement de la même manière aux images de destination (option à réserver pour une série d’images semblables).

LR5 - outil Upright - exercice Gilles Theophile, image 9

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Cet exercice est extrait de la partie 4 « Corriger ses images » du nouveau livre de Gilles Theophile, Lightroom 5 par la pratique, paru le 11 juillet 2013 aux éditions Eyrolles (photos © Céline Jentzsch). Cette nouvelle édition a été entièrement revue et augmentée (59 exercices, 330 pages, fichiers de certains exercices à télécharger, format 21 × 23, ISBN 978-2-212-13729-3, 26 €.)

Au sommaire :

Préparer l’environnement de travail. Régler les Préférences ● Créer et gérer un catalogue ● Importer et exporter un catalogue ● Les modes d’affichage ● Les éditeurs externes ● Les modules externes ● Les piles et les copies virtuelles ● Incruster un filigrane de copyright Maîtriser le catalogage. Le menu Importer ● Trier les images ● Les collections dynamiques ● Les collections ● Les dossiers ● Gérer les mots-clés ● Les métadonnées ● Le « Filtre de bibliothèque » ● Créer un modèle de copyright ● Modifier le nom et la date des photos ● La prise de vue en mode connecté ● L’importation automatique ● Importer le catalogue de Photoshop Elements ● Le flux de travail DNG ● Le flux de travail vidéo ● Le module Cartes Développer ses images. Convertir les images dans le Processus 2012 ● Étalonner l’appareil photo ● Régler la balance des blancs ● Corriger la tonalité ● Corriger automatiquement la tonalité ● Renforcer la présence de l’image ● La « Courbe des tonalités » ● Corriger les couleurs ● Réduire le bruit ● Accentuer la netteté Corriger ses images. Supprimer les défauts ● Corriger les défauts de l’objectif ● Corriger l’aberration chromatique ● Corriger la perspective avec Upright ● Corriger manuellement la perspective ● Recadrer et redresser une image ● Le « Pinceau de retouche » ● Le « Filtre gradué » ● Le « Filtre radial » ● Convertir une image en noir et blanc ● Ajouter un virage partiel et des effets Optimiser son flux de travail. Synchroniser les réglages ● Créer des paramètres prédéfinis de développement ● Personnaliser les réglages de développement par défaut ● Créer des actions de post-traitement ● Flux de travail pour photographes pressés ● Aperçus dynamiques Diffuser ses images. Le menu Exporter ● L’épreuvage à l’écran ● Imprimer ses photos ● Créer un livre photo ● Créer un diaporama ● Le module Web ● Créer une galerie Flickr avec le service de publication ● Envoyer ses images par e-mail
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Matériel photo et voyage : prendre l’avion

Les abords du lac sacré de Pushkan, en Inde.

Passer l’enregistrement et les contrôles

Si, malgré toutes les précautions prises, vous êtes tout de même au-dessus du poids autorisé pour un bagage en cabine, commencez par retirer tout ce qui peut l’être, comme l’énorme guide de voyage qui devrait survivre en soute… Ou passez votre boîtier autour du cou avec votre objectif le plus lourd vissé dessus. Si vous ne partez pas seul, pensez à passer en premier lors de l’enregistrement. Ainsi, en cas de problème, vous pourrez toujours laisser un objectif à un ami.

Mais que faire si l’on vous interdit de prendre votre sac avec vous en cabine ? Surtout, restez cordial et présentez ce qu’il contient à votre interlocuteur. Il y a de fortes chances que la compagnie aérienne ne prenne pas le risque de mettre du matériel coûteux en soute, car elle n’aura sûrement pas envie d’en prendre la responsabilité.

Pour le passage de la sécurité, ce sera différent à chaque fois. Lisez les instructions (on peut vous demander d’ouvrir votre sac, de le vider, etc.), ne vous risquez pas à faire de l’humour et n’ayez pas peur pour vos cartes mémoire, car elles ne risquent rien ! Néanmoins, vous avez le droit de demander que leur vérification soit faite à la main par un agent, pour éviter les rayons X.

Prendre le train

S’il est très intéressant de photographier dans les trains et que l’on s’y sent facilement en sécurité, il ne faut pas oublier que l’on reste un voyageur avec du matériel photo coûteux. Méfiance donc !

De manière générale, évitez de laisser votre sac sans surveillance, surtout lors des arrêts en gare, moments particulièrement propices aux vols puisqu’il est facile de s’y échapper. De la même manière, méfiez-vous des fenêtres grandes ouvertes qui permettent à n’importe quel bras de se faufiler.

La nuit, je vous conseille de garder sur vous tout ce qui a de la valeur, et de ne pas laisser traîner vos chaussures… Attention, voyager dans un compartiment n’est pas un gage de sécurité et vous ne devez donc pas oublier de fermer la porte. En couchette, vous pouvez attacher vos sacs avec des chaînes ou utiliser leurs sangles pour les accrocher à quelque chose de fixe. Enfin, avant d’aller vous coucher, évitez de parader dans tout le wagon avec votre appareil autour du cou. Enfin, sachez que beaucoup de vols ont lieu entre touristes…

Jeune Mongole.

Jeune Mongole.

 

Lightroom 5 : personnaliser les réglages de développement par défaut

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Étape 3

Ensuite, après les réglages, appuyez sur la touche Alt/Option du clavier : le bouton Réinitialiser va se transformer en bouton Définir par défaut. Cliquez dessus : une boîte de dialogue va s’ouvrir, afin de valider le changement des paramètres de développement par défaut.

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Étape 4

Le modèle d’appareil photo est précisé et, pour valider, cliquez sur Mettre à jour les paramètres actuels. Ainsi, à chaque nouvelle importation, ces nouveaux réglages par défaut seront appliqués à ce modèle d’appareil photo, mais pas à un autre. D’autre part, les images déjà présentes dans le catalogue et prises avec cet appareil ne seront pas modifiées.

Étape 5

La boîte de dialogue indique « Notez que ces modifications ne peuvent être annulées ». Cela s’applique aux nouveaux réglages par défaut qui seront appliqués aux fichiers importés : si vous cliquez sur Réinitialiser (module Développement) ou Tout rétablir (module Bibliothèque, panneau Développement rapide), les réglages après réinitialisation seront ceux définis à l’étape 2. Le procédé lui-même peut être annulé ultérieurement (voir étape 7).

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Phase One : sortie de Capture One 7.1.3

Capture One Pro 7.1.3 : la nouvelle mouture s'ouvre aux catalogues de Lightroom 4 et 5.

La société danoise Phase One vient de mettre à jour son logiciel phare, Capture One Pro 7.1.3. La nouvelle version reconnaît désormais les formats bruts de onze nouveaux appareils photo et les défauts optiques de treize objectifs et six appareils compact numériques. Autre nouveauté importante : l’importation des données à partir de catalogues de Lightroom 4 et 5.

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question

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Le magazine Eyrolles
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Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !