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Linux pour les photographes – Troisième partie

Importer des photos dans DigiKam

Il y a plusieurs méthodes pour importer des photos dans DigiKam :

  • par glisser/déposer dans l’interface de DigiKam ;
  • par transfert dans le dossier de destination, sans passer par DigiKam (dans ce cas, DigiKam saura cataloguer les nouvelles photos dans la mesure où la demande d’analyse des albums au démarrage aura été sélectionnée dans les Préférences). Vous pouvez obtenir les photos à partir d’un disque dur interne, un CD/DVD ou un lecteur de carte mémoire). Vous utiliserez cette méthode pour cataloguer des photos déjà présentes sur un disque dur. Lorsque le périphérique contenant les photos à importer est spécifié, DigiKam procède à la recherche des images présentes sur celui-ci (il est possible d’indiquer les types de fichier acceptés dans les Préférences de l’application). On peut renommer les fichiers suivant un schéma défini à l’avance (préfixe, suffixe, ajout de la date et de l’heure, ajout du nom de l’appareil photo, numéro de séquence), créer des albums, insérer son nom ou copyright aux photos au format JPEG, corriger la date et l’heure des photos et convertir les photos vers un autre format ;

  • par importation de photos depuis une carte mémoire ou un appareil photo par l’intermédiare d’une liaison IEEE-1394 (Firewire), USB ou série (RS-232). Notez qu’il vous faudra ajouter le boîtier à la liste des appareils gérés par DigiKam, puis le connecter à l’ordinateur avant de pouvoir transférer les images.

Comme on peut le deviner d’après l’illustration ci-dessus (icônes en haut à droite), il est possible d’afficher les métadonnées de chacune des photos avant même de lancer l’importation proprement dite.

12 commentaires “Linux pour les photographes – Troisième partie

  1. J’utilise exclusivement Linux, les applications évoluent très vite sur cette plateforme et je trouve bien venu cet état des lieux.

    Continuez, merci

  2. Bravo pour ces articles au sujet de Linux pour les photographes.
    Cependant ne s’agit-il pas plus de « Logiciels libres pour les photographes », en effet, comme mentionné, DigiKam fonctionne aussi sous Mac OS X, tout comme GIMP qui sera à coup sûr le sujet d’un prochain article 😉

    Par ailleurs ces articles de présentation des logiciels sont bien agréables, mais écrits suite à une première prise en main rapide, il leur manque la prescription d’un utilisateur au long cours.

    Cordialement,

  3. Ph., tout d’abord, merci pour vos compliments.

    Cette troisième partie traite de DigiKam qui est effectivement disponible pour d’autres plateformes. Mais F-Spot, traité dans la partie précédente est bien spécifique à Linux. D’ailleurs, la première partie de « Linux pour les photographes » donne le ton.
    Donc, il s’agit bel et bien de présenter les outils disponibles pour le photographe dans l’environnement Linux, même si certains sont multi-plateformes. D’ailleurs, nous aborderons également les logiciels non-libres pour Linux.

    Pour finir, vous vous trompez dans quand vous dites qu’il s’agit d’articles écrits « suite à une première prise en main rapide » dans la mesure où j’utilise ces logiciels quotidiennement depuis un certain temps maintenant et je me considère comme un utilisateur « au long cours », de DigiKam tout du moins.

  4. Bonjour et bravo pour vos articles qui tombent à pic car je suis en train de merger vers Linux.
    J’ai essayer DigiKam et F-Spot. F-Spot ne me semble pas aboutit pour une gestion avangée d’un grand nombre d’images. Par contre DigiKam est merveilleux sauf que je n’arrive pas à cataloguer des photos stockées sur CD ou disque dur externe sans les copier (et j’ai pas assez de place pour le faire) sur mon disque dur alors que F-Spot le fait.
    Est-ce impossible ou n’ai-je pas trouvé l’astuce ?
    Merci pour votre réponse et encore bravo pour ces articles !
    Bruno.

  5. Excellent article o/ Très clair et objectif, c’est assez rare dans le monde du libre (huhu). Et il n’y a d’ailleurs pas à dire, Digikam surpasse de loin ses concurrents en matière de gestion des photo (concurrents libres, j’entend).

    J’attend avec impatience celui sur le post-traitement.

  6. digikam en français (ubuntu ou debian ou autre dérivé de debian), dans un terminal :
    ~$ sudo apt-get install language-pack-kde-fr language-pack-kde-fr-base

    la même chose fonctionne via une interface graphique comme synaptic et toutes les applications kd seront françisées (krita , amarok, qtpfsgui etc…)

    bonne photo à tous !

  7. Bonjour

    Bravo pour votre article qui m’a donné l’envie d’utiliser digikam.
    Par contre, je n’arrive pas à créer les tags à partir des champs IPTC déjà remplis comme vous l’indiquez.
    Pourriez-vous me donner la manip svp ?
    Merci d’avance

  8. Bonjour
    Je suis en train d’essayer digikam, n’etant pas anglophone j’ai du mal à avoir des infos . j’apprécie beaucoup l’aide de votre article pour la prise en main de ce logiciel qui me semble complet bien qu’un peu difficile au début dans toutes ses possibilités .
    en ce qui concerne les ichiers RAW , j’utilise j’usquà présent Rawtherapee qui est àmes yeux assez performant comme derawtiseur bien qu’un peu lent sur mon pc (32bits et Xubuntu 12.04 ts)
    Si quelqu’un a utilisé les deux pourrait_il me donner on ressenti , je n’ai pas encore utilisé Digikm pour les RAW .
    merci et une bonne année 2013 à tous
    roger

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