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Lightroom 3 : les dossiers

Étape 9

On peut renommer ou supprimer librement un dossier au sein de Lightroom. Il est également possible de déplacer un dossier, simplement en le faisant glisser à un autre emplacement, par exemple à l’intérieur d’un autre répertoire. Dans ce cas, il est impératif de le faire dans Lightroom, pour ne pas perdre le lien avec la base de données. Par contre, toute intervention sur un dossier dans Lightroom se produira également sur le disque dur.





Étape 10

Dans le menu contextuel, on trouvera encore deux fonctions assez ésotériques au premier abord : Convertir les sous-dossiers et Ajouter un dossier parent. Si vous avez une hiérarchie de dossiers, avec un dossier principal 2010 contenant des sous-dossiers, Convertir les sous-dossiers supprimera le dossier principal 2010, et les sous-dossiers seront transformés en liste de dossiers principaux.





Étape 11

Ajouter un dossier parent fait apparaître un dossier supérieur dans la hiérarchie des dossiers Lightroom. En général, il s’agit d’un répertoire qui existe dans le système mais qui n’est pas référencé dans Lightroom. Concrètement, si votre dossier principal 2010 est un sous-dossier de Photos privées sur votre disque dur, vous le ferez apparaître en faisant un clic-droit sur le dossier 2010, et en choisissant Ajouter un dossier parent.






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27 commentaires “Lightroom 3 : les dossiers

  1. Je fais exactement comme ça avec les dossiers… Ca fait plaisir. Merci.

    J’en profite pour poser une question, sans doute un peu hors sujet, mais quand on tient un spécialiste qui est d’accord avec vous, on ne le lâche pas comme ça… Je l’ai jadis tentée plusieurs fois sur le premier forum LR des beta testeurs, mais je n’ai jamais reçu de réponse satisfaisante.

    Voilà la question. Est-il prévu que LR puisse un jour, comme Expression Media, annoter une image en la déposant avec la souris sur la valeur de l’annotation ? Par exemple, dans EM, si je fais glisser avec la souris un paquet d’images sélectionnées vers la valeur « Tour Eiffel » de la métadonnée IPTC de Lieu, cette opération annote les images. Elle renseigne d’ailleurs non seulement la métadonnée de Lieu, mais aussi celle de Ville (avec la valeur « Paris »), de Province (avec la valeur « Île-de-France ») et celle de Pays (avec la valeur « France »).

    En dehors de la possibilité d’imprimer sous forme de tableaux les listes des métadonnées d’une série d’images, cette façon extrêmement efficace d’annoter les images par glisser-déposer est la seule raison pour laquelle je m’obstine à utiliser EM en amont de LR.

  2. Jean, c’est possible avec les mots-clés, soit en les glissant sur un groupe d’images sélectionnées, soit en glissant les images sur le mot-clé.

    Par contre, ça ne marche pas avec les champs IPTC mais rien n’empêche de faire une piqûre de rappel à qui de droit 😉

    Le moyen le plus ludique avec Lightroom pour attribuer des champs IPTC est d’utiliser un modèle et de l’appliquer à la bombe de peinture.

    Cdlt, Gilles.

  3. Merci Gilles. Je sais bien que l’annotation par glisser-déposer fonctionne avec les mots-clés, et c’est d’ailleurs une raison supplémentaire pour s’étonner qu’on ne puisse employer la même méthode avec les métadonnées IPTC.

    D’autant que la gestion des IPTC de localisation (pays > province > ville > lieu) est déjà hiérarchique dans LR et que, donc, ce logiciel pourrait facilement, sur ce plan, se substituer à EM…

    Je vais donc continuer à utiliser Expression Media en amont de LR pour annoter mes images…

  4. Il y a aussi la synchro de métadonnées, tout aussi rapide et surtout, plus sûre.

    Je ne suis pas un avocat du glisser-déposer, parce qu’il très facile de faire une erreur en se trompant de ligne.

  5. dans viewNX il y a maintenant une fonction qui permet de géotager les photos avec google maps et earth. C’est génial. Donc une demande au père Noël pour avoir la même possibilité dans LR3

  6. Bonjour,

    En préambule je tiens à remercie Gilles & Volker pour leurs nombreux et intéressants articles et ouvrages.

    Sur le sujet du jour je me permet d’apporter ma contribution : à mon sens les noms des dossiers ne doivent être porteur d’aucune signification propre et la meilleure stratégie est d’adopter la hiérarchie suivante basée sur la date de prise de vue :
    AAAA
    |_AAAA-MM
    |_AAAA-MM-JJ

    Les avantages :
    – en un clic il est possible de visualiser les photos d’une année, un autre clic les photos d’un mois et encore un et on affine sur un jour donné (permet d’utiliser l’affichage des dossiers comme un outil pour naviguer dans le temps avec beaucoup plus de souplesse que via les filtres)
    – permet l’import auto des photos avec la bonne hiérarchie même en l’absence de métadonnées (on branche la carte mémoire et zou, on catalogue après) et après on ne les déplace plus.

    Tout ce qui est regroupement de photo se fait via les collections en se basant sur les métadonnées (lieux, date, mot-clés etc).

    Cordialement

    PS : ça serait pratique de pouvoir s’abonner aux commentaires d’un article en particulier et non à tous les commentaires (idem sur utiliser-lightroom)

  7. Bonjour à tous et merci aux contributeurs pour ces petits dossiers très pointus et instructifs.

    Vivement un bouquin chez Eyrolles, sur le classement des images un peu poussé. Il y faudrait un double rédacteur, un photographe et un gestionnaire de base de donnée images (agence photo ou plateforme médiathéque).
    Je dit ça car j’aimerais pondérer l’enthousiasme de plusieurs d’entre vous sur la dénomination des dossiers selon une date.

    Un principe de base est qu’une organisation de la gestion des fichiers doit pallier les carences intrinséques du procédé informatique. Les dates (de création, de modification, de prise de vue…) sont des données intégrées et automatiques. Tous les logiciels d’affichage ou de traitement d’images sont capables de trier les images selon ces critères SANS qu’il y ait besoin d’AUCUNE intervention d’un opérateur. Dès lors, pourquoi créer une tâche inutile?
    Même en usage amateur les données « contenu » (au sens de ce qui compose l’image) ne peuvent être amenées que par l’utilisateur. Classements par lieu (les systèmes GPS peuvent automatiser l’intégration de ce critère comme la date), classements par clients, classements par sujet sont autant de classements thématiques qu’il peut être utile de préférer…

    Travaillant dans le domaine de la gestion de photothéque, je précise que je n’amêne cette précision que pour sensibiliser au problématiques d’une gestion professionnelle de grosses bases d’images. Dans le cadre amateur, la correspondance du mode de pensée de l’utilisateur et de l’organisation de ses images doit être privilégiée.

  8. @ August le système que je propose repose sur trois principes :
    1/il est impossible d’envisager stocker toutes ses photos dans un seul et unique répertoire pour des questions de performances, de limitation éventuelle du système de fichier, de risque de fichiers différents mais ayant le même nom (appareil réinitialisé ou identique, de facilité de stockage sur des volumes différents, de backup etc
    => Il faut donc bien choisir une règles applicable dans tous les cas pour gérer le stockage des fichiers photos importés.
    2/ définir un dossier unique pour chaque photo qui ne changera plus au cours du temps et dont la création pourra être automatisée par Lightroom
    3/ on aurait pu pour la règle 2) utiliser un n° de dossier automatique mais cela nécessiterait de mémoriser le dernier dossier utilisé (je ne crois pas que LR le gère), poserait des pb en cas de recréation de catalogue (il faudrait pouvoir indiquer de ne pas repartir de zéro), créerai un dossier par importation donc si plusieurs import dans la même journée etc, et surtout utiliser la structure que j’indique permet d’utiliser le navigateur de fichier pour à la fois naviguer dans la structure de stockage physique des fichiers et naviguer dans le temps d’un simple clic (sans avoir besoin d’utiliser les filtres de métadonnées) pour afficher les photos d’une année, d’un mois ou d’une journée. De plus un dossier par date est une donnée qui a du sens pour l’utilisateur qui pourra éventuellement se se souvenir qu’il a prise telle photo à telle date mais aucunement qu’il s’agit de xxx import.
    On aurait pu aussi imaginer utiliser la date d’importation mais encore une fois c’est une valeur qui n’a pas de sens pour l’utilisateur, je me souviens de la date de prise de vue mais aucunement de la date à laquelle j’ai importé les photos.

    Petit bonus, ça permet en un coup d’oeil dans LR d’avoir une vision sur le volume de son activité photographique au fil du temps, année par année, mois par mois.

    en temps que spécialiste de la gestion de grosses photothèques je suis curieux de savoir quel système de stockage des fichiers physiques est retenu dans le milieu professionnel ? Je doute que l’on crée manuellement des répertoires par client ou sujet ?!? Sachant que par nature toute action manuelle sur les fichiers physique est synonyme de risque d’erreur (dossier mal nommé, suppression inopinée etc).

    pas compris « Un principe de base est qu’une organisation de la gestion des fichiers doit pallier les carences intrinséques du procédé informatique » => quelles carences intrinsèques du procédé informatiques ?

    pour le classement par localisation géographique à partir des données GPS je suis dubitatif, pour être un grand fan de géotagage (mon Garmin eTrex ne quitte jamais mon sac photo), je ne suis guère convaincu par les solutions de reverse geotagiging (obtention du nom d’un lieu à partir de ces coordonnées GPS) en raison des imprécisions des résultats. Il existe par contre des outils (comme le plugin de J. Friedl pour LR) qui permettent de trier toutes les photos prises dans un certain périmètre à partir de leurs coordonnées GPS.

    A mon sens le stockage des fichiers physiques n’a pas à servir à faire du classement, c’est le rôle uniquement des métadonnées. Les personnes qui utilisent encore les répertoires pour faire du classement se retrouvent forcément confronté à des limitations, une photo ne pouvant être que dans un répertoire comment faire si elle est répond à la définition de deux dossiers ?

  9. « A mon sens le stockage des fichiers physiques n’a pas à servir à faire du classement, c’est le rôle uniquement des métadonnées.  »

    Oui, c’est ce que j’explique depuis le début dans le bouquin et l’exercice : les dossiers pour stocker les images, les collections pour classer par thèmes (sujet, client, destination des images, etc.) et les collections dynamiques pour regrouper les images sur des critères précis.

    Quant à la redondance des noms de fichiers, ça ne pose évidemment aucun problème à Lightroom, notamment grâce aux métadonnées.

  10. Bonjour Gilles

    On est bien d’accord sur le principe alors mais j’avoue alors ne pas comprendre pourquoi ne pas l’appliquer totalement ?

    créer des dossiers :
    2010-06-19 Kermesse de l’école
    2010-06-19 Ballade à dos d’âne
    2010-06-19 Tir à l’arc

    c’est aller à l’encontre de ce principe puisque c’est déjà une forme de classement, qui plus est sera faites manuellement (création du dossier + déplacement des photos correspondantes).

    Dans la même situation j’utilise le champ Titre IPTC Headline auquel je donne la valeur « Kermesse de l’école » pour les photos correspondantes (idem pour les deux autres séries). J’utilise le champ Titre IPTC statut pour donner éventuellement un titre particulier à une photo d’une série.

    Champs que l’on peut ensuite filtrer ou utiliser via une collection.

    A ce niveau là ça serait bien aussi que LR permette de filtrer en un clic sur tous les champs IPTC (ville, pays, titre etc) (de la même manière qu’il est possible de le faire pour certains champs exifs) => demande d’évolution ?

    Ca me permet en plus ensuite (tjs grâce aux plugins géniaux de J. Friedl) de titrer automatiquement les photos en utilisant soit le titre de la série soit le titre de la photo si elle comporte un de particulier. Le titre de la série étant aussi utilisé pour créer un set sur Flickr par ex.

    J’avoue n’avoir rien inventé puisque c’est une structure d’import standard de LR.

  11. Je donne toujours un nom à mes dossiers, parce que ça me permet, d’un simple coup d’oeil dans la hiérarchie, de repérer les séances différentes faites le même jour.
    D’autre part, la recherche sur le nom de est permise par Lightroom. Faisant des photos plusieurs fois par semaine pour ma boîte, je me vois mal avec une très longue liste de dossiers simplement nommés 2010-XX-XX.

  12. Bonjour Gilles

    Il manque un mot important « la recherche sur le nom de ? » dossier ?

    Je comprend l’idée mais à mon sens c’est une application partielle du principe énoncé alors qu’il est simple et plus efficace de s’en passer en utilisant les collections. Collections qui pourront d’ailleurs être utilisée pour regrouper ensembles des séances photos faites par ex sur différents jours pour un même client. Par ex en créant une collection par journée par client, le tout regroupé dans un dossier au nom du client qui permettra ainsi d’accéder immédiatement à toutes les séances faites pour ce client, chose impossible avec les dossiers. Les collections peuvent facilement modifiées, renommées, etc, sans impact sur la structure physique des fichiers. Avec les collections dynamiques on ajoute en plus des raffinements il suffit de créer une collection avec comme critère la date de prise de vue et le nom du client (ajouté aux métadonnées) et à chaque import les photos seront correctement triées. Alors qu’avec les dossiers si on fait plusieurs imports dans la même journée il faudra à chaque fois déplacer manuellement les fichiers dans le bon dossier créer manuellement.

    Pour moi les raw sont des fichiers qui une fois importés ne doivent plus à être manipulés (déplacement, modification). Bénie soit le flux de travail non destructif de LR (je garde un très mauvais souvenir de Nikon Capture qui m’a flingué une série de raw pour cause de bug lors de l’enregistrement des paramètres de développement à l’intérieur des .nef).

  13. Gilles

    Bonjour. J’ai noté avec intérêt vos conseils sur la gestion des dossiers et l’utilisation des collections simples ou dynamiques. Etant un tout nouvel utilisateur de Lightroom, je pense que je vais les adopter.

    Une remarque cependant. J’observe qu’à l’inverse de certains de vos confrères, vous semblez faire l’impasse sur l’utilisation des catalogues. Qu’en est il au juste ? Est ce utile par exemple de créer des catalogues contenant tout ou partie des images d’un dossier et leur donner exactement le même nom avec la même syntaxe que les dossiers source ? Si oui, dans quel cas est ce utile, voire recommandé ?

    Moi, je serais tenté de faire mes développements sur des images rappelées par le biais des catalogues et non des dossiers, et d’utiliser les diverses collections, au delà des frontières naturelles fixées par les catalogues et les dossiers pour, soit visualiser sur mon écran des images ayant un thème ou un point commun en mode diaporama par exemple, soit pour exporter leurs homologues TIFF ou jpeg pour faire des impressions sur papier ou faire des planches contact PDF, ou encore des galeries html ou flash pour une mise en ligne.

    merci de votre réponse

  14. Je n’ai pas très bien compris l’histoire des catalogues ?

    Si vous parlez de catalogues multiples, c’est un concept qui est totalement inutile, lourd et compliqué et qui va à l’encontre de l’architecture Lightroom.

    Utiliser plusieurs catalogues multiplie d’autant le travail exigé par la gestion des images, des métadonnées (en obligeant, par ex., à gérer plusieurs listes de mots-clés), sans parler de la sauvegarde et de la maintenance.

    Tant que Lightroom ne pourra pas gérer et ouvrir plusieurs catalogues simultanément, notamment pour la recherche croisée, je préconiserai l’utilisation d’un catalogue unique. Ceux qui prétendent le contraire n’ont pas compris ou assimilé la philosophie du logiciel.

    A ce jour, le seul intérêt d’avoir un deuxième catalogue est quand on est en déplacement, éloigné de son ordinateur principal. On peut créer un catalogue provisoire sur son ordinateur portable, travailler sur les images puis, une fois de retour, le fusionner avec le catalogue principal.

  15. Il y a un moyen très simple pour faire en sorte que le principe des catalogues multiples s’effondre (ainsi que, par la même occasion, le classement des images dans des dossiers par thèmes et non par date).

    Supposons que j’ai un catalogue voyage et un catalogue famille. Je fais des photos de mes enfants lors d’un voyage à Rome.

    Dans quel catalogue dois-je importer les images : voyage ou famille ?

    Vous voyez que ça ne peut pas fonctionner. Pour exploiter les critères, vous avez les mots-clés, les métadonnées et les collections. Ainsi, vous pourrez classer ces photos avec des mots-clés « voyage », « Rome », « famille » etc…, les regrouper au sein de collections Voyage et Famille, puis les rechercher et les filtrer avec ces mots-clés, au sein du même catalogue.

  16. merci de votre réponse qui confirme ce que je pensais à priori. Ce n’est pas la peine de compliquer puisqu’on a les mots clés à sa disposition pour retrouver ses photos et parce que de toutes façons, on commence toujours par archiver de façon méthodique ses dossiers d’images sur son unité de stockage externe.

  17. sauvegarde journalière du catalogue : si je comprends bien, à la fin du travail effectué le jour n sur une série d’images, je sauvegarde le catalogue pour pouvoir retrouver tous les réglages effectués sur ces images dès la réouverture de Lightroom. Le catalogue est sauvegardé avec la date du jour dans le dossier « backups ». Question : ce nouveau catalogue contient il également les modifications ayant été faites sur d’autres images aux dates n-1, n-2, n-3… ayant déjà donné naissance aux catalogues n-1, n-2, n-3 se trouvant stockés également dans ce dossier « backups » , ou bien seulement et exclusivement les réglages effectués le jour n sur la dernière série d’images ? Je dis cela parceque je constate que si on utilise régulièrement Lightroom, le dossier backup devient vite d’une dimension astronomique avec tous ces catalogues qui s’ajoutent les uns aux autres. Merci de votre réponse.

  18. @bernut : la fonction de sauvegarde enregistre toujours l’état du catalogue à la date  » n », la sauvegarde intègre donc également les sauvegardes aux dates « n-1 », « n-2 », etc. Vous pouvez donc sans arrière-pensée supprimer les sauvegardes plus anciennes lorsque le contenu du dossier Backups devient trop envahissant. Conserver plusieurs sauvegardes successives est surtout utile lorsqu’une d’elles est corrompue (cela m’est déjà arrivé une fois), ainsi vous pouvez remplacer la dernière sauvegarde par l’avant-dernière, sachant que vous perdez alors les modifications effectuées ultérieurement à la sauvegarde en question.

  19. à priori je pensais bien que ça se passait comme cela, mais je préférais en être sûr ( pour moi c’était un frein pour l’utilisation de lightroom à grande échelle mais je suis exaspéré par la lenteur de Capture NX2 – que j’aime bien pourtant – sous snow leopard de mac intosh , malgré mon mac récent et puissant. C’est dommage que Nikon ne se donne pas les moyens de faire évoluer un logiciel pourtant très prometteur ). Merci donc pour vos précisions.

  20. question complémentaire : j’ai envie de faire le ménage avant de me mettre vraiment à utiliser Lightroom. Je me suis aperçu que dans le dossier ( je suis sous mac ) utilisateur / Bernard / pictures / Lightroom , en // au dossier backups qui contient tous les catalogues dont je parlais, il y a un fichier Lightroom 3 Catalog Previews.lrdata, un fichier Lightroom 3 Catalog.lrcat , un dossier paramètres Lightroom qui contient lui même un certain nombre de dossiers ( Develop Presets, … Metadata Prests ) , chacun de ces dossiers contenant un certain nombre de fichiers en .interplate.
    Je n’ai pas fais attention si cette structure s’est mise en place au moment de l’installation du DVD de Lightroom 3 ou bien seulement au moment de mes premiers essais d’utilisation ce celui ci. Qu’est ce que je risque si je mets tout ce dossier Lightroom à la corbeille ?

  21. Bonjour,

    Pouvez-vous me dire quelles sont les limites de stockage de Lightroom 3 (50 000 clichés, 100 000 ou plus ?)

    merci d’avance

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