Le Nikon D3 et les Nikkors de légende – Première partie
Publié le 21 avril 2008 dans Articles et dossiers par Laurent Thion
Micro NIKKOR-P 55mm f/3,5 de l’année 1972
55 mm – 1/4e de seconde – f/22 – ISO 200
Là aussi, dans calme du studio, sur pied et en prenant son temps, le résultat est tout à fait exploitable. Il s’agit pourtant de la version sans traitement multicouche. Bien entendu, le 60 mm ou le 105 mm de fabrication actuelle doivent fonctionner également à merveille… si tant est qu’on les possède.
55 mm – 1/8e de seconde – f/22 – ISO 200
55 mm – 1/8e de seconde – f/16 – ISO 200
Et les autres grands angulaires ?
Je me suis ensuite lancé dans un fastidieux exercice de comparaison entre le 14-24 et l’ensemble de mon parc de grands angulaires : 15, 18, 24, 28, 35, zoom 28-45 (1977) et aussi le 12-24 et le 17-55 sur le D200.
J’en aurais pour des pages et des pages à comparer l’incomparable dans le détail. C’est sans grand intérêt mais des généralités peuvent toutefois être notées.
Planche de test affichée dans Capture NX
- le 14-24 mm surclasse allègrement nombre de focales fixes et ce dès la pleine ouverture. Il convient toutefois de fermer d’un cran ou deux pour éliminer le vignettage.
- le 15 mm est égal à lui-même : trop de “flare” et un piqué moyen
- le 18 mms’en sort bien et le 24 est bon si diaphragmé
- le 28-45 mm de 1977 est excellent dès f/5,6 !!
- et sur le D200 le 12-24 DX génère une frange magenta dont l’importance est inversement proportionnelle à la distance focale et à l’ouverture tandis que le 17-55 est très bon aussi…