Questions Photo

Nouveau DxO Optics Pro 7 et prise en charge du Fujifilm X100

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Les deux visages de DxO Film Pack 3.1

Si l’on dope son DxO 7 par l’apport du supplément Film Pack (129 € en version Expert), on constate une amélioration du traitement noir et blanc apportée par la présence d’un mélangeur de couches et la souplesse des commandes – puisqu’on peut modifier le rendu des couleurs soit par la palette couleurs, soit par la palette Film Pack. Depuis le version 2 de DxO Film Pack, de nombreux nouveaux profils de films argentiques ont été proposés, mais il reste quelquefois à peaufiner les ajustements, notamment sur le film Kodachrome 25 qui reste l’un des plus délicats à reproduire.


A partir d’un cliché au Nikon D7000, création d’une image couleur style Kodachrome 25.

On sait que le Fuji X100 offre par défaut, en JPEG, les rendus de films de la marque (Astia, Provia et Velvia) et l’apport de Film Pack dans DxO Optics Pro m’a permis de retrouver très vite le caractère de ces variantes, le grain authentique en plus, ce qui n’est pas le cas du JPEG d’origine.





A partir d’un cliché au Fuji X100, création des variantes Astia, Provia et Velvia.

En examinant la version indépendante de Film Pack 3.1, on découvre que le logiciel a fait de grands progrès quand il s’agit de corriger rapidement un fichier JPEG sans passer par DxO Optics Pro, puisqu’il est parfaitement possible de s’en servir sans acheter le logiciel complet, les deux produits étant certes complémentaires mais indépendants dans leur installation.

Par rapport à la version 2, DxO Film Pack a gagné des commandes supplémentaires pour le traitement direct en JPEG : on peut désormais rééquilibrer sa photo vers le rendement le plus neutre avant d’appliquer un profil argentique, et surtout nettoyer le bruit numérique avant d’appliquer un grain argentique, toujours aussi fidèle, sans risquer le mélange inesthétique de grain argentique et de bruit numérique. De plus (mais ce n’est pas ma tasse de thé), le logiciel propose des rendus créatifs amusants pour tromper son monde et faire croire qu’une image au Canon EOS 1D Mark IV et 24 mm f/1,4 L (notre exemple) a été en réalité prise avec un jetable périmé depuis 15 ans et acheté 50 centimes dans une brocante. Mais la poor photography se vend parfois plus cher dans les galeries d’art que la photo nette et très travaillée, et DxO a raison de surfer sur cette mode qui intéresse bien des amateurs.


Il est possible de personnaliser un fichier JPEG dans la version séparée de Film Pack.

 


Les rendus créatifs sont une nouveauté de Film Pack 3.1.

Au final, DxO Optics Pro a été rendu plus simple mais aussi plus rapide, alors que DxO Film Pack s’enrichissait de nouvelles fonctions, mais c’est en combinant les deux que l’on obtiendra les plus grandes capacités créatrices à partir des fichiers RAW. Je regrette juste que ces logiciels n’intègrent toujours pas de module d’impression directe pour vérifier sur la papier la qualité des corrections apportées ; il faut passer par un autre programme pour visualiser l’image corrigée, et même si l’explorateur Windows est gratuit et dispose d’une fonction d’impression, cela fait une étape supplémentaire qui serait évitée avec un mode d’impression direct de l’image corrigée.

 

Jean-Marie Sepulchre est l’auteur des livres sur DxO, aux éditions Eyrolles. Son prochain ouvrage sur DxO Optics Pro 7 paraîtra en version e-book au premier trimestre 2012 et présentera toutes les fonctions de la version enrichie par Film Pack, avec de nombreux exemples et conseils de réglages pour faire face à des situations particulières voire complexes.

 

 

Noël : dix cadeaux pour photographes

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Tous les ans, nous sommes confrontés au même dilemme : que faut-il offrir à Nöel à un ami, époux, fils ou papa photographe ? Et que faut-il demander au père Nöel ? Si le Web fourmille d’idées de cadeaux, la plupart des produits proposés ne sont pas d’une grande utilité pour un photographe ou simplement trop onéreux. Voici quelques idées de cadeaux à moins de 100 euros (c’est la crise…) dont un photographe peut tirer un bénéfice immédiat pour ses prises de vue.

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Reflecta MF5000 : un nouveau scanner film pour moyens formats

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En guise de conclusion

Peut-on conseiller l’achat du Reflecta MF5000 ? Si on ne tient compte que de sa seule qualité de numérisation, très bonne (hormis une légère postérisation dans les tons foncés et des artéfacts occasionnels avec Magic Touch), le Reflecta MF5000 remplit son contrat. Hélas, il est difficile de faire abstraction du logiciel de numérisation qui contribue au même titre que le scanner au résultat final. Alors que la société Reflecta nous a habitués au logiciel de référence SilverFast, elle livre son modèle haut de gamme avec une application conçue à la va-comme-je-te-pousse. Soyons clairs, CyberView X 5 est une véritable calamité. Non seulement ses outils sont rudimentaires et peu conviviaux, mais nombre de fonctions pourtant incontournables pour un scanner semi-professionnel sont absentes : format RAW, gestion des couleurs, multiexposition, multiéchantillonnage, balance des blancs, profils pour films négatifs couleur, étalonnage et caractérisation — décidément, CyberView X5 est resté, loin derrière les autres, au dernier millénaire !



À l’état actuel, le scanner Reflecta MF5000 semble trop onéreux par rapport à ses prestations. Son tarif est sans doute calqué sur celui, d’occasion, du feu Nikon SuperCoolscan 9000ED, de qualité supérieure. Mais même lorsqu’il sera livré, dans un futur proche, avec SilverFast Ai Studio 8, son tarif devrait rester inférieur à 1000 euros ttc pour trouver son public. N’oublions pas qu’il est loin d’offrir la productivité d’un scanner Nikon 8000ED/9000ED ou Epson V700/V750. L’avancement manuel du film compromet le traitement par lot tout comme Magic Touch empêche le nettoyage des poussières sur des diapos Kodachrome. La connectique est un peu rudimentaire. J’aurais apprécié une connectique un peu plus rapide (USB3 ou FW 800) et la possibilité d’utiliser des porte-films 120 avec verres anti-Newton.

Points forts

  • très bonne qualité de numérisation (résolution, dynamique).
  • la vitesse de numérisation plutôt rapide.
  • le dépoussiérage est plutôt efficace et rapide.
  • la réalisation est solide et soignée.
  • les porte-films offrent une bonne planéité.
  • la mise au point AF est précise et fiable.
  • prise en charge de tous les formats entre 24 × 36 mm et 6 × 12 cm.

Points faibles

  • le logiciel de numérisation n’est pas digne d’un outil aussi sophistiqué.
  • le scanner produit du banding dans les tons foncés.
  • apparition occasionnelle d’artéfacts avec Magic Touch.
  • il n’y a pas de traitement par lots.
  • la connectique est un peu limitée (uniquement USB 2).
  • le porte-film 120 force à découper des bandes de film.
  • prix (trop ??) élevé.

Photoshop et traitement HDR : méthodes alternatives

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Si les corrections apportées permettent d’approcher l’aspect de l’image du rendu désiré, il est souvent nécessaire de passer par des calques de réglage et des sélections pour améliorer globalement et localement le contraste, la luminosité et la saturation des couleurs. Pour cela, je me sers notamment d’un panneau personnalisé qui regroupe les principaux outils et routines de traitement visant la luminosité, le contraste, l’accentuation et le contraste local.


Le résultat final, suite à une série de corrections globales et locales.


Photographier la nature en macro : les araignées (Deuxième partie)

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Technique photo

Attention à la surexposition : les toiles et les araignées, du fait de leur petite taille et de leur finesse, sont peu prises en compte par la cellule qui privilégie l’environnement. Si ce dernier est sombre, toile, fil et animal paraîtront trop clairs. Par ailleurs, à moins de bénéficier d’un peu de rosée ou d’un contre-jour favorable, les toiles se distinguent mal du fond. Vaporisez un peu d’eau pour les mettre en évidence, en procédant délicatement pour éviter de faire fuir l’araignée. Un flash en mode Automatique à côté du boîtier et un second, en mode Manuel déclenché par cellule photoélectrique, derrière la toile, permettront de mieux mettre cette dernière en valeur grâce au contre-jour ainsi produit. Il est prudent de bracketer.

L’éclat du flash annulaire souligne le regard particulier de cette saltique dont les yeux, véritables téléobjectifs, lui permettent d’apprécier la longueur de ses sauts. Pour ceux qui n’apprécient pas ce côté artificiel, l’éclat peut être facilement supprimé au posttraitement. 200 ISO, 65 mm macro, 1/200 s à f/14.
Souvenez-vous que les gros plans d’araignée sont surprenants. En effet, nous avons rarement l’occasion de rencontrer des animaux qui possèdent de six à huit yeux autour de la tête. Toutes n’ont pas les yeux à la même place, c’est même une façon de reconnaître les familles. Pour les photographier, il est indispensable d’utiliser le 50 mm macro, éventuellement retourné, ainsi que deux flashs montés sur support dont l’automatisme TTL est toujours en fonction. Munissez-vous d’un pied ou d’un monopode et approchez en douceur, en prenant garde de ne pas heurter la toile afin de ne pas donner l’alerte. En retournant l’objectif, vous gagnez un peu plus de distance entre l’objectif et le sujet, ce qui vous permet de moins effrayer l’animal et de bénéficier de plus de place pour l’éclairer.

 

 

Photographier la nature en macro : l’envol des insectes (Première partie)

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Les limites de l’emploi des cellules

L’acquisition de cellules photoélectriques ne résoudra pas toutes vos difficultés de prise de vue en vol. En effet, vous devrez encore régler un certain nombre de problèmes techniques. En premier lieu, il faudra baliser le chemin que devra emprunter l’insecte pour passer devant les cellules photoélectriques, déterminer l’endroit où faire la mise au point et, enfin, régler la rapidité de l’éclair pour immobiliser les ailes. Pour plus de confort, une fois encore, je conseille l’emploi de plusieurs flashs.

Guider l’insecte. Avant qu’il déclenche en passant devant la cellule, il faut conduire l’insecte à se présenter à un endroit donné en lui faisant suivre un parcours guidé dont l’ouverture finale sera réduite pour éviter qu’il ne s’éloigne trop. N’oublions pas que sa taille oblige à un rapport relativement important qui réduit la profondeur de champ : à un demi-centimètre près, la photo risque d’être floue. Un bon système consiste à placer les insectes dans une boîte noire dont l’une des faces comporte un cône translucide dirigé vers la lumière. Sur la face opposée, une large ouverture couverte par un rideau noir permet d’introduire de nouveaux « sujets ». En vous plaçant devant une fenêtre, vous récupérerez plus facilement les insectes lors de leur sortie afin de les remettre dans la boîte d’envol.

Régler la mise au point. La cellule est située devant la sortie du cône et les insectes en coupent le faisceau en sortant, ce qui provoque le déclenchement de l’appareil. Voilà pour la théorie. La pratique est plus délicate. En effet, les vitesses de vol varient d’un animal à l’autre et il est difficile de déterminer avec précision à quel endroit régler la mise au point. Selon le matériel utilisé, le déclenchement de l’obturateur varie également. Le mieux est de cadrer assez large au début, puis de réduire progressivement le champ si les résultats confirment la zone de netteté.



Il faut anticiper l’action de l’insecte pour tenter de le stopper en vol, d’où un grand nombre de photos ratées. Parmi le nombre, la découverte d’une rareté, un citron de Provence unique, à la fois mâle et femelle. 500 ISO, 180 mm macro, 1/1 300 s à f/18.


Les cellules à rayon laser sont également plus rapides au déclenchement et, surtout, leur faisceau très fin réagit au passage d’un petit insecte, ce qui n’est pas le cas avec les cellules classiques à infrarouge. Leur rayon plus large est facile à mettre en place mais d’un déclenchement plus aléatoire avec les petits sujets. Dans tous les cas, dites-vous que vous ne couperez pas aux essais, heureusement facilités maintenant par le numérique…
Si vous n’avez pas les moyens d’acquérir une cellule, laissez voler l’insecte dans un couloir transparent et déclenchez au moment où il quitte le tube, mais c’est un peu hasardeux. L’autre solution que nous propose le numérique, c’est de pratiquer une véritable chasse photographique sportive de tir en vol. Utilisez pour cela un boîtier performant capable de réaliser des rafales de 5 à 10 images par seconde et montez dessus un objectif macro de 180 mm.



Placée sur le dos sur une plaque d’altuglas opaque, cette coccinelle a été photographiée au moment où elle ouvrait ses élytres pour se redresser. La vitesse de prise de vue dépend de celle des éclairs émis par deux Metz CT4 utilisés en manuel avec la puissance diminuée de 1/128e. 160 ISO, 100 mm macro, 1/100 s à f/22.

Augmentez la sensibilité à 800 ou 1 600 ISO selon la luminosité. Vous pouvez gagner encore en sous-exposant de 1 ou 2 diaphragmes ; les papillons clairs ressortiront mieux et les parties sous-exposées seront retouchées au post-traitement. Réglez votre autofocus en mode AI Servo de façon à pouvoir suivre le sujet. La vitesse sera réglée autour de 1/4 000 s. Postez-vous près d’un massif de fleurs qui reçoit de nombreux visiteurs et tirez des rafales quand ils arrivent ou repartent des fleurs. Bon courage !


Composition : le cadrage vertical serait-il en train de disparaître ?

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Pourtant, il suffit de se discipliner un peu pour échapper à la prison créative que représente l’utilisation exclusive du cadrage horizontal. Face à un sujet, basculez votre boîtier d’abord en position verticale, puis repassez ensuite au cadrage horizontal. Décollez votre oeil du viseur : cela vous aidera à découvrir d’autres compositions possibles.



Souvent plus exigeantes, les compositions verticales sont souvent plus intéressantes.


Mais faites attention à la profondeur de champ en paysage : l’orientation verticale privilégie en quelque sorte le premier plan et il est souvent important qu’il soit net pour guider le regard à travers de l’image. Enfin, soignez votre composition pour établir une relation entre le premier et l’arrière-plan de vos images.

Quant à ma propre production photographique, elle est plutôt équilibrée : une vérification rapide sous Lightroom révèle une parité quasiment parfaite entre les deux orientations. Cela serait-il dû au fait que tous mes boîtiers soient dotés d’un déclencheur vertical ou d’une poignée verticale dédiée ?



Probablement, mais en tant qu’auteur d’ouvrages et d’articles de la presse écrite, je dois répondre à une demande fréquente d’illustrations au cadrage vertical. J’ai aussi une (fâcheuse) tendance à tourner autour de mes sujets pour ainsi réaliser différentes compositions, points de vue et cadrages, le cadrage initial n’étant pas toujours le plus pertinent.

Et vous, quid de vos images ? Quelle orientation privilégiez-vous et pourquoi ?


Composition : le mythe de l’objectif de paysage

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J’espère que cet article vous a ouvert les yeux sur le potentiel créatif des objectifs standard et télé en photo de paysage. Contrairement à ce qu’on peut lire sur d’autres sites, il n’y a pas d’objectifs plus doués que d’autres pour saisir la beauté d’un paysage : si l’emploi d’un objectif grand-angle s’y impose tout naturellement, celui d’une focale plus longue permet souvent de produire des images aussi saisissantes. Et si, à l’occasion de votre prochaine promenade automnale, vous laissiez votre grand-angle à la maison ?




Holga HL-C 60 mm f/8 : un bouchon optique pour reflex Canon

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Caractéristiques techniques

  • Focale : 60 mm (équivalent 90 (Nikon) ou 96 mm (Canon) sur un reflex au format APS-C)
  • Ouverture déclarée (fixe) : f/8
  • Ouverture réelle (fixe) : f/22 à f/32
  • Construction optique : 1 élément
  • Mise au point : manuelle, sur quatre zones
  • Distance minimale de mise au point : 1 m environ
  • Dimensions : 38 × 57mm
  • Poids : 38g
  • Montures : Nikon (HL-N), Canon (HL-C), Sony (HL-S)
  • Prix: 20 euros environ



Canon 5DMII, Holga HL-C 60 mm f/8, 1/60s à 800 ISO. Posttraitement dans Nik Color Efex Pro 4.


Photographier avec un compact ou un hybride micro 4/3

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Pour réaliser des photographies rêveuses ou mystérieuses, approche macro et faible profondeur de champ constituent un atout de poids ! Surtout, ne vous limitez pas à photographier des fleurs dans ce mode de prise de vue. Un crayon qui traîne, un coquillage sur la plage, l’œil de votre compagne ou compagnon, l’ourlet de votre short, la tranche d’un livre, une pelure de mandarine… Tout cela se montrera sous un nouveau jour en macro !


Puzzle…

Enfin, je ne peux pas terminer cet article sur ces appareils de taille réduite sans évoquer l’appréciable liberté que donnent leur maniabilité extrême et leur visée à l’écran.

Pouvoir tenir son appareil facilement d’une main pour photographier à la verticale, le placer au-dessus de sa tête ou au niveau du sol, le faire pivoter d’un simple mouvement de poignet pour affiner sa composition nous ouvre de nouvelles portes au niveau de l’angle de prise de vue et du cadrage, ce qui décuple notre créativité.

La photographie peut devenir, grâce à cela, une activité sans contrainte, accompagnant votre quotidien.
Tenir un livre dans une main et déclencher de l’autre ? Aucun problème ! Photographier votre dentiste en live ? C’est possible ! Un petit temps d’adaptation est nécessaire pour faire évoluer nos habitudes photographiques. Une fois ce temps passé, votre appareil aura acquis une telle liberté qu’il vous faudra parfois vous tordre le cou pour le suivre dans ses idées de cadrages farfelus !


Photographier en marchant, c’est possible avec un compact.


Une photographie prise à bout de bras pendant un RDV chez le dentiste. Votre compact sera votre compagnon de tous les instants.

Ainsi, on aurait pu croire que le reflex serait toujours le compagnon privilégié du photographe confirmé souhaitant réaliser des images maîtrisées et abouties, mais ma propre expérience tend à prouver le contraire… Il est on ne peut plus étonnant pour moi de constater que c’est à présent le reflex qui est devenu mon matériel complémentaire, tandis qu’un hybride micro quatre-tiers tient désormais le rôle d’outil de prise de vue principal. Après tout, quel que soit le matériel utilisé, une image sera toujours une image !

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Anne-Laure Jacquart est photographe et formatrice photo. Par l’intermédiaire d’articles, d’ouvrages et de formations, elle invite les photographes amateurs à affiner leur regard, leur sens de la composition et leur créativité, et les engage à considérer la technique comme un simple outil permettant d’arriver à leurs fins expressives. Elle est l’auteur de Composez, réglez, déclenchez ! La photo pas à pas, actuellement en librairie (978-2-212-67334-0), et de Vivez, déclenchez, partagez ! La photo au quotidien, à paraître aux éditions Eyrolles le 6 octobre 2011 (978-2-212-13304-2).

Le magazine Eyrolles
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Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !