Canon EF 16-35 mm f/4 L IS USM : le nouvel étalon ? (Première partie)
Publié le 26 août 2014 dans Actualités Articles et dossiers par Volker Gilbert
Dans la pratique
A l’usage, l’ EF 16-35 mm f/4 L IS USM inspire immédiatement la confiance, tant la construction semble robuste et l’opération des commandes agréable. Si le stabilisateur d’image n’a pas vocation à remplacer un trépied, il est néanmoins très utile pour travailler à l’intérieur d’un bâtiment (église, musée, château, etc.) ou à l’extérieur, dans des conditions d’éclairage moins favorables. S’il faut attendre une seconde environ avant qu’il se mette à l’œuvre, le stabilisateur est quasiment inaudible : il faut tendre l’oreille et approcher l’objectif pour détecter un ronronnement très discret qui se fond le plus souvent dans le bruit ambiant.
Le stabilisateur, donné pour quatre « vitesses » et donc pour un gain de 4 IL, n’est pas aussi performant que la fiche technique donne à espérer. Suivant mes propres essais, son efficacité se limite à 3 IL environ, puisque j’ai fréquemment réussi à obtenir des images nettes à 35 mm et 1/4 s ainsi qu’à 16 mm et 1/2 s alors que les temps de pose plus longs généraient en majorité des images floues. Quoi qu’il en soit, le dispositif de stabilisation procure à l’objectif un avantage décisif sur le 17-40mm f/4 L et même le 16-35 mm f/2,8 L II USM avec des sujets immobiles. Face à des sujets remuants, ce dernier conserve une légère avance, grâce à sa luminosité plus grande. Toutefois, le stabilisateur ne remplace pas un trépied – n’espérez donc pas à opérer la nuit et à la sensibilité ISO la plus basse, avec pour seule assistance le stabilisateur d’image, car vos images seront alors inexploitables.
Testée sur des boîtiers Canon EOS 5D Mark II et Mark III, la mise au point AF est très réactive et d’une précision quasiment infaillible. La motorisation USM est très silencieuse et l’objectif possède une conception par-focale qui permet d’effectuer la mise au point à une focale et de saisir l’image à une autre sans qu’il soit nécessaire de modifier la mise au point une nouvelle fois en mode automatique ou manuel.
Bonjour à tous,
J’ai la chance de disposer de cette optique merveilleuse que je recommande vraiment. Pas besoin de poursuivre les tests !!
Celle-ci accompagne mon 2,8/24-70 II également excellent, ainsi qu’un 2/135 (+ X1,4III) ce qui donne un 2,8/189, disons 2,8/200 non moins superbe.
Si l’on veut pinailler, disons qu’il faut selon moi (et dans ma configuration), utiliser le 4/16-35 de 16 à 20mm et laisser le 2,8/24-70 prendre le relai à partir de 24mm pour le top du top.
UN TRUC :
=> Placer vous sur la focale de 16mm,
=> désactiver la mise au point auto,
=> placer le repère de mise au point sur 1 mètre (c’est bien, il figure sur le barillet entre 0,5m & l’infini),
=> choisir un diaphragme de f10,
Et, en vertu du calcul de l’hyperfocale, vous serez toujours net de 0,46m jusqu’à l’infini, en évitant la diffraction des diaph. plus fermés.
Je ne connais pas cette optique donc encore moins son para-soleil.
Mais un parasoleil a un role de protecton bien plus important que celuid’un filtre (ah ces filtres UVqu’elle belle rente), mais pour cela il doit se détacher en cas de choc.
Vouloir un para-soleil en alu solidement visé sur l’objecitf est un non sens, mais c’est tellement markerting, pardon vendeur.
un test plus explicite serait le bien venu
Qu’est-ce que vous souhaiteriez lire dans un test plus explicite ?
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